Pendant l'Occupation, René entre en contact par hasard avec la Résistance, avec laquelle il se lie. Il tue alors sur ordre des allemands, et des français. Après la guerre, il continue à tuer, pour son propre compte. Arrêté, il est condamné à mort.

Noël Annequin est agriculteur dans les années 1950 vers Aix-en-Provence. Sa femme souffre terriblement d'un cancer en phase terminale. Il abrège ses souffrances sur sa demande. Il avoue son meurtre à ses frères, deux grands bourgeois.

Gertrude, une petite fille aveugle et sauvage, est recueillie par un pasteur. Celui-ci l'élève et éprouve une affection de plus en plus vive pour elle. Devenue adulte, Gertrude s'éprend du fils du pasteur.

Un célèbre violoniste à la retraite, remet à Agnès, sa fille avec laquelle il vit, trois bagues, symbole des femmes qu’il a aimées. Il lui fait promettre qu’elle ne les offrira qu’à des hommes qu’elle sera sûre d’aimer (...)éperdument. A vingt ans, puis à trente ans et enfin à quarante ans, Agnès donnera ces trois bagues à un unique et seul homme, un compositeur et violoniste de génie qui, rongé par le tourment, semble gâcher sa vie à plaisir. Un véritable drame sentimental tourné pendant la guerre par le réalisateur qui incarne alors le cinéma français (Le bossu, La symphonie pastorale, Notre-Dame de Paris). (x)

Patricia est la fille du puisatier, elle est donc issue d'une famille modeste. Elle a une aventure très brève avec Jacques Mazel, un jeune aviateur. Celui-ci part pour la guerre. Patricia découvre qu'elle est enceinte. Et la famille Mazel la rejette.

Pépé le Moko est un gangster du milieu parisien réfugié dans la Casbah d'Alger, où il est en sûreté, mais dont il ne peut sortir sans se faire arrêter. Il tombe amoureux d'une touriste, une femme mondaine, parisienne et sophistiquée.

Dans un bar, un homme claironne qu'il donnerait bien un million à qui le débarrasserait de sa tante dont il doit hériter. Quelques instants plus tard, il reçoit un billet acceptant sa proposition et lui demandant l'adresse de la vieille dame.