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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Jack l'éventreur):
"C'est l'une des meilleures versions des méfaits de Jack l'Eventreur, un assassin qui inspira de nombreux cinéastes…" Les Inrocks "Brahm possède un sens aigu de l'atmosphère, auquel participe l'exceptionnelle photo de Lucien Ballard, et qui est mis au service du récit. Dans un Londres de studio, expressionniste et angoissant, la raison semble peu à peu perdre pied : les certitudes s'effondrent, la peur devient psychose, et tout se passe comme si elle était la cause et non plus la conséquence des meurtres en série. Un film curieux et, par instants, fascinant." Telerama - Aurélien Ferenczi "Le film est assez remarquable par sa photographie. John Brahm joue beaucoup avec les ombres et aussi les perspectives. L'atmosphère est ainsi rendue plus forte, notamment dans les scènes d'extérieurs avec des volutes de brouillard qui semblent flotter dans les ruelles. Sur le plan de l'interprétation, le film est dominé par la présence de Laird Cregar, acteur à la carrure immense et imposante. C'est hélas son avant-dernier film puisque l'acteur décédera peu après. Les autres acteurs font pâle figure à ses côtés, y compris un George Sanders quasi-inexistant et une Merle Oberon sans éclat en chanteuse légère de music hall. Ses deux numéros sur scène sont vraiment de très mauvais goût. Les studios ont heureusement pris soin de distribuer de nombreux seconds rôles à des acteurs anglais. Malgré tout, ce Jack l'éventreur reste un film assez fort." L'Oeil sur l'Ecran - Lui |
Synopsis usuel:
1888. Londres est secouée par une série de meurtres sanglants, et l’on vient de découvrir la quatrième victime de l’assassin. Au même moment, l’étrange M. Slade loue une chambre dans une maison bourgeoise et tombe amoureux de la nièce de sa logeuse. |
Jack l'éventreur est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 26 septembre 1946 |
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