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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray 28 ans plus tard):
"Le film peut se vanter d’avoir les meilleures scènes de tensions de la saga (pour le moment), de ne pas oublier de se parer d’humour et de tendresse (le personnage brillamment joué par Ralph Fiennes en est le symbole ultime), mais surtout d’un regard acerbe sur la notion de mort dans nos sociétés. (...) Nous ne dévoilerons rien de précis dans ces lignes afin de conserver les multiples surprises du long métrage. On n'avait pas vu Danny Boyle autant en possession de ses moyens depuis longtemps." Abus de Ciné - Germain Brévot "Sans conteste le meilleur film de la saga jusqu'ici, 28 ans plus tard avance un projet esthétique particulièrement beau et puissant, et s'attaque à la question du deuil (comme tant d'autres avant lui) avec une pertinence et une originalité rares." Ecran large - Judith Beauvallet "Le réalisateur britannique retrouve son énergie punk et son style viscéral, alternant séquences de genre inventives et bien gore et images poétiques saisissantes." Première - Pierre Lunn "L’audace, c’est ça : un gigantesque foutoir rempli à ras bord d’idées plus ou moins bancales, plus ou moins bonnes, mais trop radicales pour ne pas susciter la sympathie." Ecran large - Mathieu Jaborska "Danny Boyle a pensé aux malades de la rage pour créer le look des monstres du film. Il a aussi puisé son inspiration dans la pandémie de Covid-19 et dans la politique actuelle. Ne dites pas à Danny Boyle que les créatures de sa fable politique 28 ans plus tard sont des zombies. « Ce sont des infectés, déclare-t-il d’un ton sans réplique. Ils sont victimes d’une épidémie et doivent cohabiter avec des humains sains. »" 20 minutes - Caroline Vié "Danny Boyle confirme qu'il est l’un des plus grands cinéastes de son époque, trop souvent sous-estimé." Paris Match - Fabrice Leclerc "Alors, oui, nous sommes dans du pur film de genre, plein de zombies tueurs, à la tension incroyable. Mais voilà du cinéma de divertissement qui magnifie le genre. Et qui en a tellement entre les oreilles ! Magistral." Paris Match - Fabrice Leclerc "L'interprétation impressionnante, notamment Ralph Fiennes dans un rôle inoubliable, emporte l'adhésion malgré une intrigue parfois un peu brouillonne qui s'éparpille." Première - Pierre Lunn "Les destinées sentimentales de la famille occupent plus le scénario (...) que la figure du zombie, qui semblait pourtant lui tendre un reflet déformé. Les tours de sale gosse de Boyle (saillies gore, déflagrations sonores, mélange d’images sages et furieuses) se révèlent impropres à chasser les conventions, parce que trop brouillons." Le Monde - Mathieu Macheret "Boyle et Garland ont réussi à construire un « objet » aberrant, inepte, défaillant à tous points de vue, ce qui constitue une sorte de record. Car le ratage est complet, que l’on parle du scénario, de la réalisation, de l’image, du son, du montage ou de l’interprétation : zéro pointé dans tous les domaines !" Benzine Mag - Eric Debarnot "Troisième volet de la franchise épidémique, le film de Danny Boyle donne une impression de néant absolu malgré son agitation permanente (...) deux heures complètement vides de tension, agitation vaine et braillarde qui ne va nulle part et n’est capable de rien raconter." Libération - Lelo Jimmy Batista "L’image de 28 ans plus tard (filmé partiellement à l’aide d’un iPhone, paraît-il, alors que le budget est plus que confortable), est d’une laideur et d’une incohérence déconcertantes, nous décourageant d’emblée de trop nous endommager la rétine en détaillant ce qui se passe à l’écran. Quant au montage complètement erratique, il détruit les quelques scènes qui pourraient surnager dans ce gloubi-boulga indigeste, et se voit encore aggravé par un mixage sonore absurde et harassant, véritable épreuve pour les oreilles du spectateur qui s’est déjà résigné à fermer les yeux !" Benzine Mag - Eric Debarnot "D’un tel projet, on attendait a minima qu’il s’aligne sur les deux volets précédents. On aura à la place une synthèse de ce que ses deux créateurs savent faire de pire. De Boyle, le montage clipesque, les séquences illisibles et les effets grotesques (pour chaque mort, un arrêt sur image avec gerbe de sang numérique offert). De Garland, les personnages monolithiques, le récit qui avance comme une Méhari qui n’a pas passé le contrôle technique depuis 1983. Et bien sûr leur travers commun à tous deux : celui de tout recouvrir de titres pop balancés de préférence au moment le plus inapproprié et mixés beaucoup trop fort." Libération - Lelo Jimmy Batista |
Synopsis usuel:
Cela fait près de trente ans que le Virus de la Fureur s’est échappé d’un laboratoire d’armement biologique. Alors qu’un confinement très strict a été mis en place, certains ont trouvé le moyen de survivre parmi les personnes infectées. C’est ainsi qu’une communauté de rescapés s’est réfugiée sur une petite île seulement reliée au continent par une route, placée sous haute protection. Lorsque l’un des habitants de l’île est envoyé en mission sur le continent, il découvre que non seulement les infectés ont muté, mais que d’autres survivants aussi, dans un contexte à la fois mystérieux et terrifiant… |
Sortie ciné : 18 juin 2025 Box office France: 532 822 entrées cinéma |
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