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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray La Venue de l'avenir):
"La Venue de l'Avenir est un double récit initiatique qui fait dialoguer le Paris de 1895 avec celui d’aujourd’hui et où le sens du casting et de la direction d’acteurs de Klapisch fait encore mouche." Première - Thierry Chèze "Cédric Klapisch, et c’est l’une de ses forces, parvient à rassembler des acteurs, qui ne viennent pas des mêmes horizons, et à en faire des cohérences. (...) Les jeunes Paul Kircher, Vassili Schneider et Abraham Wapler représentent la nouvelle génération que le cinéma va adorer. Et leurs aînés sont tous bien dans leurs rôles, ne se volant jamais la vedette et faisant œuvre commune." L'Echo - Joëlle Lehrer "Pour son premier film en costumes et sa première participation à Cannes, le réalisateur dépeint notre époque et celle des impressionnistes." Le Figaro - Françoise Dargent "On apprécie la manière assez subtile dont le réalisateur parvient à mixer le passé et le présent, les flashbacks sont bien amenés, ni pesants, ni excessifs. " L'Echo - Joëlle Lehrer "On est d'abord frappé par l'efficacité de la mise en place. En trois séquences, il rend limpide une intrigue complexe à base de voyages temporels." Les Echos - Adrien Gombeaud "On se demande bien pourquoi le nouveau long-métrage de Cédric Klapisch est doté d’un titre si abstrait, et si peu glamour, La Venue de l'Avenir. Présenté à Cannes, hors compétition, ce film est tout l’inverse, posant un regard distancié sur les choses, sans se prendre au sérieux (...), assumant sa fantaisie et sa légèreté, grâce à une brochette d’acteurs inspirés." Le Monde - Clarisse Fabre "Il y a dans le cinéma de Klapisch une joie qui confine à l’émerveillement, une exaltation presque enfantine qui devient, par sa façon de mettre en scène ses histoires, quelque chose d’intemporel." Le Figaro - Françoise Dargent "La Venue de l'Avenir n’est pas exempt de choses un peu bancales, de certains clichés, d’un côté chromo mais il déborde d’une prodigalité qui ne laisse personne à quai." Le Figaro - Françoise Dargent "La Venue de l'Avenir est le plus ambitieux des films de Cédric Klapisch, mais loin d’être son plus réussi. (...) Même s’il est tendre et sans doute sincère dans sa démarche, le cinéaste se repose en grande partie sur des clichés (jeune/vieux en particulier), une grande naïveté et un récit trop fabriqué. Difficile en effet de ne pas trouver l’ensemble légèrement artificiel, notamment à travers l’intervention de célèbres peintres, photographes et autres personnalités culturelles du 19e siècle." Ecran large - Alexandre Janowiak "En ce qui concerne les personnages plus secondaires, on regrettera une caractérisation soit trop peu fouillée, soit qui n'apporte rien à l'histoire. Surprenant pour un film de Cédric Klapisch qui en avait pourtant fait sa marque de fabrique. Quant au personnage joué par Suzanne Lindon, la fameuse ancêtre à l'origine de l'intrigue, on pourra lui trouver une sensiblerie qui sied mal au standard de l'époque et qui décrédibilise l'ensemble. Cela fait vraiment cliché de dire qu'à l'époque on était élevé à la dure et qu'on était déjà bien content de manger tous les jours, mais entendre une femme du 19e siècle prononcer des phrases du genre « sans ma maman je ne saurais pas comment grandir » on n’y croit pas trop." Abus de Ciné - Benjamin Bidolet "Gracieux mais superficiel, La Venue de l'Avenir est loin d’être le meilleur des films de Cédric Klapisch." Avoir Alire "Si on m'avait dit que je ressortirais déçu d'un film de Klapisch à propos de généalogie et de reliques du passé, je n'y aurais pas cru. Pourtant, La Venue de l'Avenir est un film au scénario rebattu, cliché à mort, à tel point que ça en frise le ridicule. Dommage, car il y avait tout de même de belles idées. (...) mais bon, l'écriture du scénario est si évidente que vous n'aurez aucun mal à en deviner la fin au bout de 30 minutes." Vol au-dessus du 7e Art "Dans cette reconstitution de l’époque, Klapisch évoque Sarah Bernhardt, Nadar ou encore Monet… Si son tableau est fort joli, il est édulcoré et totalement irréaliste : Klapisch filme les trois jeunes qui partagent un coin de grenier comme s’ils étaient des étudiants colocataires étudiants d’aujourd’hui ; dans d’autres scènes, il filme les salons d’un bordel dans une ambiance presque chaleureuse. Or il va sans dire que les rapports hommes/femmes à la fin du XIXe siècle étaient infiniment plus durs et rugueux qu’il ne veut bien les décrire." Rtbf - Hugues Dayez |
Synopsis usuel:
Aujourd’hui, en 2025, une trentaine de personnes issues d’une même famille apprennent qu’ils vont recevoir en héritage une maison abandonnée depuis des années. Quatre d’entre eux, Seb, Abdel, Céline et Guy sont chargés d’en faire l’état des lieux. Ces lointains « cousins » vont alors découvrir des trésors cachés dans cette vieille maison. Ils vont se retrouver sur les traces d’une mystérieuse Adèle qui a quitté sa Normandie natale, à 20 ans. Cette Adèle se retrouve à Paris en 1895, au moment où cette ville est en pleine révolution industrielle et culturelle. Pour les quatre cousins, ce voyage introspectif dans leur généalogie va leur faire découvrir ce moment si particulier de la fin du XIXe siècle où la photographie s’inventait et l’impressionnisme naissait. Ce face à face entre les deux époques 2025 et 1895 remettra en question leur présent et leurs idéaux et racontera le sens de : La venue de l’avenir. |
Sortie ciné : 22 mai 2025 Box office France: 900 027 entrées cinéma |
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