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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Parthenope):
"Paolo Sorrentino célèbre la beauté sous toutes ses formes, avec Naples comme écrin et la révélation Celeste Dalla Porta dans le rôle principal d'une sirène moderne. Le réalisateur explique : « La beauté attire et isole. Elle peut créer de terribles jalousies. Rendre fou. » Son héroïne ne veut pas n'être qu'un objet de désir et souhaite que ses brillantes capacités intellectuelles soient reconnues." 20 minutes - Caroline Vié "Parthenope est un subtil portrait de femme où l'on retrouve des constantes du cinéma de Sorrentino, mais avec plus de retenue qu'à son habitude. Une réussite." Avori Alire "A Cannes, notamment, (...) l'Italien s'est pris le mur des critiques. On lui reprochait de s'extraire de tout contexte social et politique. Ou bien de ne pas avoir compris l'élan #Metoo qui fait que le cinéma ne peut plus être seulement le “fait de faire faire de jolies choses à des jolies filles”. C'est juste, mais c'est aussi refuser de voir que le film va bien au-delà. Condensé de l'art sorrentinien, Parthenope est à la fois une fable existentielle (quel est le prix de la beauté ? Est-ce une malédiction ou un pouvoir ? Et qu'est-ce que cela révèle des hommes ? ), un mélo déchirant, une ronde de personnages plus intrigants les uns que les autres et une lettre d'amour à Naples et au cinéma." Première - Gael Golhen "Déjà parmi les meilleurs films de 2025, Parthenope envoûte par sa poésie, sa beauté insolente assumée, comme sa capacité à profondément émouvoir." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "On se laisse ainsi étourdir par une ambiance mêlant nostalgie d'un passé perdu (la douleur de l'écrivain américain, interprété par Gary Oldman, transperce le cœur), et par ce qui constitue finalement le regard d'un homme mûr sur la beauté, devenue inaccessible." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "C'est uniquement dans son écriture que le film pèche, une narration étirée en longueur beaucoup trop dépourvue de profondeur et de complexité (comme si toute idée d'aller au plus profond des choses, allait salir la beauté de sa fable allégorique), pas aidée non plus par quelques digressions dispensables - notamment celle entourant un Gary Oldman lessivé." Fucking Cinéphiles - Jonathan Chevrier "Paolo Sorrentino se noie sous ses figures de style : glacis publicitaire, aphorismes appuyés, références cryptiques à la culture napolitaine. Malgré des fulgurances – un suicide sublimement suggéré – et la cinégénie folle de Celeste Dalla Porta, la fable baroque tourne à vide et le temps paraît long, très long." L'Obs - Nicolas Schaller "Sorrentino voudrait faire de cette personnification de Naples un fantasme total. Il en tire surtout une coquille vide empêtrée dans sa vacuité." Ecran large - Antoine Desrues |
Synopsis usuel:
La vie, tel un long voyage, de Partenope, de sa naissance dans les années 1950 à nos jours. Une épopée féminine sans héroïsme, débordante d’une inexorable passion pour la liberté, pour Naples et les visages de l’amour. Les amours vraies, inutiles et celles indicibles. Le parfait été à Capri d’une jeunesse baignée d’insouciance. Et qui se termine en embuscade. Et puis tous les autres, les Napolitains, hommes et femmes, fréquentés, observés et aimés, désabusés et vitaux, leurs dérives mélancoliques, leurs ironies tragiques et leurs yeux un peu abattus. La vie, mémorable ou ordinaire, sait être très longue. Le cours du temps offre un vaste répertoire de sentiments. Et là, au fond, proche et lointaine, cette ville indéfinissable, Naples, qui ensorcèle, enchante, hurle, rit et sait nous faire mal. |
Sortie ciné : 12 mars 2025 Box office France: 89 205 entrées cinéma |
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