|
|
Livre : L'AFFAIRE ADELE HAENEL
Cet essai très documenté démonte, point par point, une affaire MeToo devenue emblématique. Il revient en détail sur l’enquête de Mediapart, en décortique les erreurs méthodologiques, puis montre comment les médias l’ont relayée de manière encore bien plus trompeuse, installant des certitudes sans fondements. Un essai qui expose la faillite intellectuelle d’un journalisme qui a cessé de douter. |
|
![]()
|
|
vod
dvd
Le film est peut-être sorti en vod chez CANAL VOD mais le Guide Rapide n'a pas encore établi de lien vers la fiche de film chez CanalVOD. CANALVOD |
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Insomnia):
"Insomnia est un polar fascinant. Ce film, qui possède un vrai style, donna le remake de Nolan." Télérama - François Gorin "Il s'agit en effet du polar qui a inspiré Insomnia de Christopher Nolan (...). Pour une fois, dans ce cas rare d'un remake supérieur à l'original, comparaison est raison puisque la vision de la version d'Erik Skjoldbjærg, sèche et ramassée, permet de mesurer l'apport psychologique et filmique proprement génial de l'Américain Christopher Nolan." Le Temps - Thierry Jobin "[Il y a] beaucoup plus de feu que dans le remake, car trois scènes plutôt torrides ponctuent le récit (la séquence qui met en scène sa propre tentation (...) lorsqu'il met la main entre les cuisses de l'adolescente dans la voiture, la scène d'amour entre celle-ci et son copain à laquelle il se complet à assister en voyeur, la scène d'amour enfin entre lui-même et l'employée de l'hôtel durant laquelle il perd le contrôle). On assiste au final à un film plus hard-iced qu'hard-boiled (si je peux me permettre) mais où on finit par sentir coller sur le héros la même poisse que sur un Bogart. A ce titre, le film est bien supérieur à celui de Nolan qui se plaisait simplement à souligner l'allongement des cernes d'Al Pacino (Al Pacino est un grand acteur de cernes cela dit). Un très bon polar au final qui distille sa part d'angoisse et de névrose." Shangols "L'ensemble s'appuie sur une mise en scène soutenue, se tenant à l'écart de coups de théâtre gratuits, gardant en tête de traiter les machinations de cet inspecteur cherchant à se dissocier de ses actes sur un ton monocorde, ce qui rend cependant l'essai un peu lourd à l'occasion. Le réalisateur réussit malgré tout à traiter visuellement l'état d'étourdissement et de désordre psychologique de son protagoniste par une approche conférant une importance particulière à un jeu de lumières aveuglant (...). Dans ces tourments glauques et insomniaques, Erik Skjoldbjaerg démontre également les attraits d'un savant directeur artistique, manipulant avec aisance une solide distribution menant son effort empreint d'un réalisme perturbant et glacial à bon escient." Panorama Cinéma - Jean-François Vandeuren "L'affaire est d'autant plus intéressante qu'il s'agit du premier long métrage d'un jeune réalisateur qui entame sa carrière sur la pente savonneuse du film de genre, noir de surcroît. (...) Un soudain infléchissement de l'action, qui la dédouble tout en la déplaçant, et le fait de la situer dans le cercle arctique sous le signe de la lumière permanente et de l'insomnie (physiologique et morale) de son héros, témoignent de l'incontestable originalité du scénario. Hélas ! l'exercice est limité par la réalisation, qui se contente d'illustrer platement ce récit inventif." Le Monde, 1998 - Jacques Mandelbaum |
Synopsis usuel:
Au nord de la Norvège, pendant l’été lorsque le soleil ne se couche plus, une jeune femme est assassinée dans un petit village. Deux policiers de la brigade criminelle d’Oslo viennent aider les forces locales à enquêter. Mais la traque de l’assassin va conduire l’un des policiers à commettre l’irréparable… |
Sortie ciné : 19 aout 1998 Box office France: 19 342 entrées cinéma |
|
|