Ce tout nouveau film commence là où son prédécesseur l’avait laissé avec sept scènes toutes nouvelles et le retour de l’une des favorites : Mickey dans « l’apprenti sorcier ». Sur huit séquences de musique classique, les (...)personnages historiques du monde féerique de Disney proposent à tour de rôle une fresque visuelle sans dialogue aucun, avec au programme, la «Symphonie n°5», de Ludwig Van Beethoven ; «Les Pins de Rome», d'Ottorino Respighi ; «Rhabsody in Blue», de George Gerschwin ; «Concerto pour piano n°2», de Dmitri Chostakovitch ; «Le Carnaval des animaux», de Camille Saint-Saëns ; «L'Apprenti sorcier», de Paul Dukas ; «Pomp and Circumstance», de sir Edward Elgar ; «L'Oiseau de feu», d'Igor Stravinski... (x)

Sept séquences animés illustrent des thèmes de la musique classique. Dans la séquence de l'apprenti sorcier, Mickey emprunte un chapeau magique et se bat contre des balais qu'il avait ensorcelé pour qu'ils lui portent des seaux d'eau.