|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Johny Guitare):
"Ce film, considéré parfois comme un des plus beaux du cinéma américain, est un western étonnant dans la mesure où c'est l'un des rares, voire le seul, western féministe. Ce sont deux femmes qui en sont les protagonistes." Wikipedia "Johny Guitare, perle des cinéphiles, est un western aussi riche qu'intense." Critikat "Drame, splendide histoire d'amour, parabole politique, bien plus qu'un western, Johny Guitare est un chef d'oeuvre atypique, lyrique et baroque, sombre et flamboyant." In The Mood for Cinéma "L'étonnante fluidité de la narration, la richesse inouïe des thématiques brassées, la noblesse des intentions, la puissance des sentiments, l'exacerbation des passions, l'émotion à fleur de peau, l'atmosphère d'onirisme dégagée par la constante inventivité de la mise en scène font de Johnny Guitar non seulement un western unique mais un film unique qui, une fois qu'il aura réussi à vous captiver, ne vous lâchera plus ; des images, des répliques et des mélodies iront probablement vous entêter pendant un bon moment ! Un sublime, fascinant et romantique poème d'amour fou (...)." Dvd Classik "(...) la principale révolution du film est d'évoquer la figure d'une femme indépendante, défiant les préjugés de la société patriarcale." Le Mag Cinéma "Johny Guitare a été fait sur mesure pour Joan Crawford (...). Joan Crawford fut l'une des plus belles femmes de Hollywood ; elle est aujourd'hui hors des limites de la beauté. Elle est devenue irréelle, comme le fantôme d'elle-même. Le blanc a envahi ses yeux, les muscles de son visage. Volonté de fer, visage d'acier (sens à peine figuré). Elle est un phénomène. Elle se virilise en vieillissant. Son jeu crispé, tendu, poussé jusqu‘au paroxysme par Nicholas Ray constitue à lui seul un étrange et fascinant spectacle." François Truffaut - Arts, 23 février 1955 "Considéré comme un chef d'oeuvre, le film de Nicholas Ray, partage entre son classicisme effréné et sa modernité totale. Johny Guitare est visuellement aussi daté et rythmé que l'était le cinéma muet (son découpage, ses situations, ses plans...) et utilise les codes les plus traditionnels du western, mais, derrière ses apparences désuètes fait souffler une modernité révolutionnaire, notamment en mettant au premier plan la rivalité totale des deux femmes (le personnage de Johnny discrètement relégué au second plan). Crawford et Hayden y forment, dans ce qu'il est convenu d'appeler un western féministe, un de ces couples forts du cinéma américain." Doorama "Le duel entre les deux rivales est également visuel : le rouge flamboyant des lavallières de Vienna, puis le blanc immaculé de sa robe de soirée s'opposent aux tenues noires d'Emma. Une symphonie de couleurs que Nicholas Ray orchestre dans une mise en scène au baroque furieux. Et somptueux." Telerama |
Synopsis usuel:
Johnny Guitare retrouve sa femme après cinq ans de séparation. Son épouse, durant sa longue absence, est devenue propriétaire d'une maison de jeu construite sur le terrain où doit passer la ligne du chemin de fer. Johnny arrive au moment où un quatuor d'aventuriers est sommé, en même temps que son épouse, de quitter les lieux dans les 24 heures. Les hommes de la ville voisine sont venus accomplir cette besogne sous la conduite d'une riche propriétaire de la région qui, sous prétexte de venger son frère, ne cherche en réalité qu'à se venger de la femme de Johnny, qu'elle accuse de vivre en intelligence avec « Le Kid », chef des aventuriers. |
Sortie ciné : 11 février 1955 |
|
|