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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Jonction 48):
"Un ancrage documentaire fait le prix de cette chronique, nous instruisant que si les gouvernements de la région (singulièrement celui d'Israël) s'entêtent dans un statu quo inique, certains habitants n'attendent pas et vivent au quotidien la paix et la mixité ethnique, religieuse ou culturelle." Les Inrocks "Une énergie formidable circule dans ces scènes quotidiennes, entre lyrisme amoureux, conflit de générations et violence politique." Le Figaro "En présentant le parcours de Kareem, écrit et joué d'après sa propre vie par le rappeur Tamer Nafar, du groupe protestataire DAM (quoique les paroles de son rap de fiction soient sensiblement moins féroces que celles qui le rendirent célèbre en Israël au début des années 2000), Udi Aloni raconte une histoire « vécue de l'intérieur »." Libération "La commune voit cohabiter tant bien que mal des populations juives et palestiniennes. Les dernières plus souvent réduites au ghetto. Ici vit Kareem, incarné par l'artiste de hip-hop palestinien Tamer Nafar. Le jeune homme, également coscénariste de ce film inspiré de sa vie personnelle, introduit ainsi dans le rôle de comédien qu'il endosse la puissance politique de sa musique. Ou plutôt celle de la musique comme acte politique, thème de prédilection d'Udi Aloni, Israélo-Américain, qui explore les relations entre art et activisme." L'Humanité "Les confrontations avec les rappers nationalistes israéliens, les policiers foncièrement racistes, la famille intégriste de Manar et les lois discriminantes du gouvernement pour les habitants arabes sont autant d'embûches pour le couple. Ils n'en restent pas moins deux être attachants, portés par deux jeunes acteurs très convaincants." Abus de Ciné - Alexandre Romanazzi "A la fois israéliens et palestiniens, les personnages sont écrasés par les rivalités avec leurs compatriotes juifs, mais aussi par des traditions familiales aliénantes." Telerama "Tous les personnages palestiniens du film sont des exemples de tolérance et de pacifisme, tandis que, du côté israélien, il n'y a que des flics racistes, des rappeurs agressifs, des destructeurs. C'est simpliste, voire simplet." L'Obs |
Synopsis usuel:
Kareem, un jeune palestinien habitant dans la banlieue de Tel-Aviv, rêve de percer dans le milieu du rap. Mais, lui et son amie chanteuse, Manar, doivent batailler contre le racisme de la communauté voisine et le conservatisme de leur propre famille. |
Sortie ciné : 19 avril 2017 |
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