Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Adieu Gary):
"Surprenant, détonnant, drôle et délirant, Adieu Gary est un film fou, imprévisible et pourtant diablement politique." Lci Tf1
"Adieu Gary est un premier long métrage réussi et fort, aux airs de western crépusculaire sur le monde ouvrier." Les Inrocks
"Cette chronique d’une communauté ordinaire émeut par son ton juste et sa référence, rare dans le cinéma français, au western." Avoir Alire
"Ambiance far-west donc pour un film qui se veut également social. On y parle, en effet, délocalisation, insertion après sortie de prison ; on valorise la mixité (Jean-Pierre Bacri est père de deux garçons maghrébins) ; et on se laisse envoûter par les très belles musiques arabes. Les liens familiaux intéressent, enfin, beaucoup Nassim Amaouche qui traite notamment des difficultés de communication entre un père et son fils et qui évoque les pères disparus, les couples recomposés et les autres qui n'aspirent qu'au bonheur." Abus de Cine
"C'est un premier film court, aérien, fragile, présenté et primé à la Semaine de la critique de Cannes 2009. S'il séduit, c'est surtout parce qu'il est en osmose parfaite avec ses personnages : doux et discret, comme eux. Nassim Amaouche a su capter au vol des gens et des lieux comme en vacance permanente. En décalage léger. On les a abandonnés, tous, ils ne servent plus à grand-chose, mais ils continuent de survivre, presque étonnés d'être encore là." Telerama
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Synopsis usuel:
Au milieu de nulle part, une cité ouvrière vidée de sa population depuis quelques années déjà. Pourtant, certains habitants ont décidé d'y rester, plus par choix que par nécessité, parce que c'est là qu'ils sont nés et qu'ils ont grandi. Parmi eux il y a Francis, l'ouvrier consciencieux qui continue d'entretenir la machine sur laquelle il a travaillé toute sa vie ; Samir, son fils , qui revient dans le quartier après une longue absence ; mais aussi Maria, la voisine, vivant seule avec son fils José qui veut croire que son père est Gary Cooper. Il va donc l'attendre tous les jours dans la ruelle de ce no man's land contemporain, qui ressemble à s'y méprendre à un décor de Western...
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