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Sortie vod, dvd et blu-ray: The Green Inferno

Film DTV, 2013, USA-Chili, de Eli Roth
Durée: 1h40
Genre: Horreur, Aventure
Des écologistes new-yorkais se rendent en Amazonie, en vue d'effectuer une action militante pour dénoncer des déforestations illégales. Mais en chemin, un accident d'avion les met entre les mains d'une tribu cannibale de la jungle.
Film interdit aux moins de 16 ans.
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: 6 janv 2016
: inconnue
: inconnue
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DVD vente
Blu Ray vente
: 6 janv 2016
: 6 janv 2016
: 6 janv 2016
Nombre de votants: 43 739 internautes
5,3  /10
sortie dvd blu ray 3D imdb
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Nombre de votants chez IMDb:
Nombre de votants chez Allociné:
43 404
335
note: 5,3
note: 5,4
sortie vod, dvd et blu-ray The Green Inferno
© Wild Bunch
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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The Green Inferno):

"Cela faisait longtemps que l'on avait pas vu un film gore aussi dégueulasse (du moins, dans les films ayant droit à une sortie officielle). Eli Roth veut toujours aller plus loin, peut-être trop parfois. Pour les spectateurs cherchant un film pour tester leur résistance aux vomissements, c'est le jackpot ! "
Films-Horreur.com

"Soyons clairs : The Green Inferno ne réconciliera pas Roth avec ses détracteurs. Ne dérogeant pas à la règle de la « formule Eli Roth » (combinaison de scènes extrêmement gores et d'humour souvent potache) et bâti sur un modèle narratif similaire à celui de Cabin Fever et Hostel 1&2, incluant à peu près les mêmes qualités (film d'horreur sans concession avec du fond) et défauts (exposition beaucoup trop longue, jeu des acteurs digne des pires productions AB), The Green Inferno voit dans sa première partie des adolescents engager un comportement pour lequel ils sont ensuite punis lors d'un second acte, assez barbare. C'est par son propos que The Green Inferno se montre le plus intéressant, poursuivant et enrichissant les grands thèmes Rothiens. Avec ses ados-héros insupportables, tout le temps connectés (via les réseaux sociaux), qui se la jouent apprentis membres greenpeace, confrontés dans un second temps à la dangereuse réalité du terrain (cannibales, milice paramilitaire), Eli Roth espère ainsi, après avoir taclé le tourisme sexuel et le délire consumérisme sur un mode cauchemardesque dans les deux volets Hostel, faire la nique à l'activisme écolo du dimanche (et plus largement, à la suprématie du monde occidental), pratiqué dans l'unique but de satisfaire un égo qui n'a rien d'altruiste."
Les Chroniques de Cliffhanger & Co

"Entre l'image vidéo et les performances d'acteurs laissant à désirer, on a un peu peur au début d'être face à un Cannibal Low Cost, mais dès qu'on passe dans la jungle, le film démarre, les décors naturels se prêtent davantage à l'image numérique et la terreur sur les visages des comédiens ne peine pas à convaincre."
Film de Culte

"Le sous-texte subversif du film n'est qu'une piste lancée par le récit qui ne supplante en aucun cas le divertissement auquel se résume avant tout une entreprise plus modeste qu'elle n'en a l'air. Loin de toute velléité cathartique ou politique, et avant tout motivé par le désir de réaliser un pur festival cul, caca et gore (...), Eli Roth reste de ces cinéastes clairement « bisseux » qui ne visent qu'à s'amuser."
Abus de Ciné

"The Green Inferno est surtout une tentative culottée de rendre hommage aux oeuvres les plus nauséabondes de l'histoire du cinéma d'horreur, les films de cannibales italiens de Ruggero Deodato, comme Cannibal Holocaust. L'entreprise, souvent jouissive, ne tient toutefois pas toutes ses promesses."
Avoir Alire

"Curieusement, le film n'atteint pas les sommets de violence auxquels on pouvait s'attendre. Hormis une combo énucléation/coupage de langue/démembrement, Eli Roth enrobe son sandwich à la viande d'un humour bon enfant qui fait allègrement passer la pilule et qui évite les maux de ventre."
Daily Mars - Douglas MacDouglas

"Plutôt que les images insurmontables de corps nus et accrochés, mutilés, à des piquets ou dévorés sauvagement qu'a pu nous offrir Cannibal Holocaust, Eli Roth préfère transformer chaque scène où les victimes se font dépecer en un moment jubilatoire allant s'achever par une pirouette comique. Gags scatophiles, blagues de cul, usage de la marijuana... Tant d'éléments qui ont fait le capital sympathie de Cabin Fever, première réalisation d'un trentenaire immature, mais qui n'avaient pas leur place dans ce que l'on attendait d'un Green Inferno, vendu comme un digne héritier des films de cannibales lancés en Italie par Umberto Lenzi et Ruggero Deodato."
Ciné Séries Mag

"Le scénario tient sur un ticket de métro ! Au-delà du sempiternel message écologique (« sauvons la jungle et la nature contre les grosses sociétés industrielles »), Eli Roth et Guillermo Amoedo ont beau injecter à leur histoire une pseudo sous-intrigue autour d'une conspiration tendant à dire que l'activisme n'est qu'une vaste supercherie visant à exploiter la naïveté de certaines personnes au profit d'autres intérêts beaucoup plus mercantiles ! Mais, malgré cet effort un peu vain, l'intrigue reste d'une banalité affligeante."
Devil Dead

"A trop forcer l'exercice de style, Eli Roth en oublie le développement de son histoire et de ses personnages, laissant le spectateur suivre avec un intérêt modéremment passionné les souffrances et les tortures des jeunes héros. Bien sûr, quelques scènes gores viennent pimenter le métrage, mais comme souvent chez Roth, elles arrivent trop tard et ne sont que parcimonieuses."
Strange Movies

"Mais il s'est passé quoi dans le cerveau du mec capable de réaliser le traumatisant Hostel ? Comment Eli Roth ose-t-il affirmer que ces gamins méritent de mourir ? Comment peut-il se complaire ainsi dans ce spectacle d'une gratuité consternante... Et dire que ce mec s'imagine super subversif avec toutes ces pseudo-scènes gore (que l'on compte sur les doigts de la main, bonjour l'arnaque) complaisantes (bien loin des images terrifiantes de Cannibal Holocaust) et vides de sens, qui ne sont finalement là que pour choquer un public atone avide de sensations fortes frelatées... Si pour Ruggero Deodato, les monstres étaient clairement les occidentaux coupables d'exactions hallucinantes, on doit donc comprendre que pour Eli Roth, avoir des idéaux écologiques, aussi puérils ou manipulateurs soient-ils, revient au même ? ? ? C'est juste honteux de sous-entendre ça... Ce tocard a beau jeu de se cacher derrière un humour noir minable pour désamorcer cette violence gratuite sidérante ! "
Daily Mars - Docteur No
Synopsis usuel:

Un groupe d’écologistes activistes new-yorkais se rend en Amazonie et tombe entre les mains d’une tribu particulièrement hostile…
 
La répartition des votes des internautes (IMDb)
5%
ont adoré
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(notes: 9 et 10)
21%
aiment vraiment
sortie vod, dvd et blu-ray 3D barre pourcentage
(notes: 7 et 8)
42%
aiment moyen
sortie vod, dvd et blu-ray 3D barre pourcentage
(notes: 5 et 6)
20%
n'aiment pas
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(notes: 3 et 4)
12%
détestent
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(notes: 1 et 2)