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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd The Smell of Us):
"Débarqué à Paris pour son premier film en langue étrangère, Clark reste ici en apparence fidèle à son éternel sujet (les sociabilités adolescentes en milieu clandestin, qu'il restitue depuis les années 70) et à sa méthode, alliant documentaire et fiction dans une confusion vertigineuse." Les Inrocks "Dans ce film, les kids du trocadéro s'aiment, se défoncent et baisent à tout-va." Les Inrocks "Le film trace un sillon sinueux en guise de trame, bien que par moments (et c'est sûrement la limite de son film) Clark raccorde les divers segments à un semblant de tronçon scénarisé. Mais pour le reste, The Smell of Us tient plutôt de l'agencement de blocs de visions : d'une part les scènes de sexe, parfois splendides, souvent hypnotiques dans le rapport ogresque qu'elles imposent entre les corps, et de l'autre leur négatif, les captations des ébats par des caméras amatrices. Ces images-ci évoquent autant la démocratisation du porno (chacun peut filmer et exhiber ses expériences), qu'elles ne composent quelque chose d'autre, une forme de vampirisation de l'acte et sa transformation en un résidu dévitalisé." Critikat "On peine à retrouver cette alchimie si particulière de violence et de grâce qui faisait le prix des photographies et des premiers films de Larry Clark. Informe, répétitif, le film donne souvent l'impression d'un bateau ivre, sans véritable maître à bord. C'est d'ailleurs ainsi, en épave larguée, que le réalisateur se montre lui-même, à travers un personnage de clodo poivrot. Une mise à nu infructueuse, plus agaçante que courageuse, qui sonne faux, comme le film, souvent." Telerama "C'est pénible et caricatural." Le Figaro - Sorin Etienne "Pour le dire crûment, on croyait en avoir fini avec Larry Clark. Ou plutôt, que Larry Clark était fini. Les derniers temps, le photographe américain devenu cinéaste semblait à bout de souffle, beaucoup moins inspiré qu'à l'époque de ses premiers longs-métrages et notamment de son premier, Kids (1995). Kids montrait une bande d'adolescents new-yorkais dans les années 1990. Drogue, viol et sida, le portrait de groupe n'était pas franchement une comédie. Clark se taillait une réputation de réalisateur sulfureux, confirmé dans les années 2000 par ses oeuvres suivantes." Le Figaro - Sorin Etienne "Vingt ans après Kids, Larry Clark ne fait plus scandale mais demeure hanté par les mêmes démons, ceux d'une subversion sensuelle et malaisée. Déjà vu, déjà fait, déjà dit. Donc même ressenti." Avoir Alire "Ce qui a marché dans un contexte californien ou new-yorkais ne fonctionne pas du tout à Paris." Ciné Séries Mag "Le film est le résultat d'un tournage l'été dernier décrit par tout le monde comme un bordel sans nom. Ni Clark ni ses jeunes acteurs n'étaient présents à Venise, signe qu'ils n'ont plus rien à se dire. L'embarras est le seul mot qui vient à l'esprit devant cette parodie grimaçante de Clark par lui-même, limite gaga." Liberation |
Synopsis usuel:
Paris, Le Trocadéro. Math, Marie, Pacman, JP, Guillaume et Toff se retrouvent tous les jours au Dôme, derrière le Palais de Tokyo. C’est là où ils font du skate, s’amusent et se défoncent, à deux pas du monde confiné des arts qu’ils côtoient sans le connaître. Certains sont inséparables, liés par des vies de famille compliquées. Ils vivent l’instant, c’est l’attrait de l’argent facile, la drague anonyme sur Internet, les soirées trash « youth, sex, drugs & rock’n’roll ». Toff filme tout et tout le temps. |
Sortie ciné : 14 janvier 2015 Box office France: 26 965 entrées cinéma |
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