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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Accords et désaccords):
"Woody Allen imagine la vie d'un guitariste de jazz éternel second. (...) Cette biographie imaginaire d'un guitariste de jazz nommé Emmet Ray, le meilleur du monde après Django Reinhardt, touche par la sincérité de son ton et la parfaite adéquation entre la modestie apparente de sa forme et la renommée indécise de son personnage principal." Les Inrocks "Woody Allen est un grand amateur de jazz. Lui-même clarinettiste, on n'a qu'à écouter les bandes originales de ses films pour réaliser tout l'attachement qu'il porte au jazz d'avant guerre. Avec Accords et Désaccords, film en forme de vrai faux reportage, c'est à la musique de Django Reinhardt qu'il rend hommage (et aussi un peu à Fellini...). Sean Penn incarne avec beaucoup d'humour ce personnage à la fois attachant et odieux de guitariste à l'égo surdimensionné qui n'aime rien tant que de jouer de la guitare, regarder passer les trains et tirer au pistolet sur des rats..." Django Station "Woody Allen nous livre consciencieusement, l'un après l'autre, des films d'une telle qualité d'écriture, d'un intérêt si constant que tels des enfants gâtés, on finirait par trouver normale cette accumulation tranquille de joyaux cinématographiques." La Vie des Films "On retrouve dans Accords et Désaccords, film jubilatoire et coloré (dominante rouge - orange), le sens de la comédie, du non-sens, voire de l'absurde, et le talent de Woody Allen pour nous présenter des personnages hors du commun dans des situations hors du commun ; Emmet Ray ne fait rien de ce qu'il est censé faire, il est imprévisible et c'est ce qui fait son charme." Jimboland "Accords et Désaccords est d'abord un film romanesque, en ce qu'il invente un type, comme le font les grands romanciers classiques. Allen invente ici le type du grand musicien pas malin. Ce simple pari, ce paradoxe incarné par un comédien exceptionnel, Sean Penn, suffiraient déjà à passionner le spectateur." La Vie des Films "Sans quitter le ton de la comédie, Woody Allen nous mène au coeur des questions qui le hantent quand apparaît furtivement un personnage qui, dans la vie d'Emmet, joue un rôle capital : Django Reinhardt. Car Emmet, le dur, voue une vénération sans borne à Django. Quand il entend sa musique, il s'évanouit. (...) Django c'est une des grandes trouvailles du scénario est le talon d'Achille d'Emmet ! Bien sûr, Woody Allen se projette dans ce musicien bourré de talent mais crucifié d'être le « second meilleur ». Ses Django à lui, il le clame depuis toujours, ce sont Bergman, Fellini, Kurosawa, De Sica..." Telerama - Pour - Bernard Génin "Certains ont jugé inaproprié d'avoir confié le doublage de guitare au guitariste étasunien Howard Alden. Qu'un Tchavolo Schmitt ou autre Biréli Lagrène aurait certainement eu plus de panache. Peut-être... Pourtant, ce choix d'un guitariste américain au style... très américain (malgré une évidente propension au style de Django) reste à mon sens scénaristiquement parfaitement justifié." Django Station "Accords et Désaccords est un film mineur dans la filmographie de Woody Allen, un film bizarrement atone. Bizarre, le mot n'est d'ailleurs pas tout à fait juste : ceux qui ont vu le documentaire sur Woody Allen de Barbara Kopple, Wild Man Blues, peuvent en témoigner, il n'y a rien de plus ennuyeux qu'un concert de Woody Allen." Telerama - Contre - Vincent Remy "Emmet Ray est en principe un musicien génial et bouleversant. Mais qu'entend-on alors ? Pour l'essentiel, une tambouille dixieland, pas très éloignée de ce que joue Woody Allen lui-même à la clarinette. Et cette tambouille (le sublime Caravan d'Ellington joué façon pouêt-pouêt, la scie Sweet Georgia Brown servie et inlassablement resservie à la guitare tsouin-tsouin) est censée clouer d'émotion les personnages du film comme les spectateurs..." Telerama - Contre - Vincent Remy |
Synopsis usuel:
Emmet Ray est un guitariste de jazz extrêmement doué, insouciant, coureur de jupon, doublé d’un flambeur invétéré. Mais la musique ne paie pas et Emmet aime les femmes, les belles voitures et les costumes de luxe... La solution ? Conquérir Hollywood pour y trouver la gloire et surtout pour sortir de l’ombre de son idole : le grand Django Reinhardt... |
Sortie ciné : 26 janvier 2000 Box office France: 677 222 entrées cinéma |
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