Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Le Hobbit 2 - la Désolation de Smaug):
"Le Hobbit 2, magistrale super-production, continue sur la lancée du premier épisode, avec plus de rythme et d'action, et multipliant les décors enchanteurs et bestiaires insolites, donnant ainsi un écrin visuel magnifique à l'univers fantastique des romans de Tolkien." Guide Rapide
"Voilà un film d'aventure comme peu vu, emballant tout le temps, divertissant partout, enthousiasmant toujours. (...) Jackson assume totalement le principe radical des gentils et des méchants et défend un cinéma festif qui réveille les papilles du plaisir brut et simple, et emmerde les grincheux. Merci Peter. A noter que la grande séquence finale est un morceau d'anthologie (...) franchement anthologique." L'Express
"Pour se débarrasser des gentillesses nécessaires du premier volet, donner de l'ampleur à leur trilogie et noircir le tableau (...), les auteurs accélèrent les cadences ici (la traversée de la forêt noire de Mirkwood réduite à l'essentiel), injectent des frissons là (le long apprivoisement de Beorn l'ours-garou transformé en course-poursuite), multiplient les orques comme des fournées de pain noir, et placent généralement l'ensemble de ce deuxième volet sous le signe de la nuit gangréneuse." Avoir Alire
"Si l'on ne devait citer qu'une seule séquence, il serait impossible de ne pas parler de la scène des tonneaux. Entrant directement dans le top des meilleures scènes de la franchise et des meilleures scènes d'action de l'année, ce morceau de bravoure est un véritable festival d'inventivité. Il y a quasiment une idée à la minute dans l'action, dans les cascades, dans les coups, les mises à mort, et visuellement, c'est juste un régal pour les sens. On n'avait pas vu une telle fluidité dans la mise en scène de l'action depuis longtemps. Avec un Legolas dont le degré de badassitude à l'arc et à l'épée a été multiplié par dix. Et ce n'est même pas lui qui a le moment le plus énorme du film, qui compte nombre de gros morceaux et en tous genres, avec des bestioles, avec des pouvoirs magiques, et surtout, avec un dragon." Film de Culte
"Pour tenir la distance (le roman original n'est pas si long), Peter Jackson a tendance à beaucoup meubler. Dans les scènes d'action, cette accumulation est un atout (...). La potion magique est plus fade, en revanche, quand s'y ajoutent un tas de villageois inutiles, mais aussi une improbable amourette (absente du livre) entre l'un des Nains et une Elfe. Si la romance aboutit et qu'ils finissent par se reproduire, ça donnera quoi ? Un nailfe ? " Telerama
"Obligé de délayer pour réussir son absurde pari de réaliser une nouvelle trilogie, Jackson répète ad nauseam les mêmes scènes dans les mêmes décors (des forêts inhospitalières, des corniches friables, des cités exsangues gouvernées par des rois fainéants...) et les résout toujours à l'identique : fuite, grand danger, baston, situation désespérée, sauvetage miraculeux, re-fuite, nouveau danger ; et ainsi de suite." Les Inrocks
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Synopsis usuel:
Après avoir survécu à un périple inattendu, la petite bande s’enfonce vers l’Est, où elle croise Beorn, le Changeur de Peau, et une nuée d’araignées géantes au coeur de la Forêt Noire qui réserve bien des dangers. Alors qu’ils ont failli être capturés par les redoutables Elfes Sylvestres, les Nains arrivent à Esgaroth, puis au Mont Solitaire, où ils doivent affronter le danger le plus terrible - autrement dit, la créature la plus terrifiante de tous les temps qui mettra à l’épreuve le courage de nos héros, mais aussi leur amitié et le sens même de leur voyage : le Dragon Smaug.
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