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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Okita le pourfendeur):
"Dans une structure narrative classique avec un personnage central dont on suit la grandeur et la décadence, Fukasaku expérimente avec succès des styles de mise en scène bien à lui (cadrages penchés, ralenti, caméra à l'épaule) donnant du rythme et du charme à ce film de genre de très bon niveau." Cinemasie - Ghost Dog "Décadrages forcenés, combats de rue filmés à vif, brutalité graphique (viols, meurtres ultra violents), raccords stylisés, caméra à l'épaule récurrente, sont les marques habituelles du cinéaste, que l'on retrouve dans ce film." Ecran Large - Francis Moury "De tous les films de yakuza de Fukasaku, Okita le Pourfendeur est l'uns de mes préférés. Bien que le film prenne pour fond l'univers de la pègre japonaise, il est centré uniquement sur le personnage d'Okita, sorte de rebelle nihiliste et solitaire." Rebel without a cause "Okita le Pourfendeur est un mélange de critique sociale virulente et d'extrême violence, accompagnées d'un orchestre génial suivant les moindres gestes des protagonistes." Cinemasie - Xavier Chanoine "Tel un manuel d'utilisation, on apprend alors comment se faire reconnaître et respecter chez les yakuza alors qu'on n'est qu'un amateur : on embauche quelques hommes de main, on fait des descentes dans des restos où l'on distribue quelques mandales, on provoque la bagarre, on tape dans l'oeil d'un parrain grâce à son côté « chien fou » qui le rend nostalgique, et on fait alliance avec lui." Cinemasie - Ghost Dog "Voilà un film qui charcle dans tous les coins; pour pourfendre, notre ami Okita pourfend : il frappe comme une mule et viole à tour de bras." Shangols "3 ans plus tard, Fukasaku réutilisera la plupart des ingrédients de ce film dans le Cimetière de la Morale qui les approfondira, mais Okita le Pourfendeur reste néanmoins recommandé à tout amateur de petit polar inventif : c'est un classique du genre, bien qu'ayant été surpassé ensuite par le cinéaste." Cinemasie - Ordell Robbie "Le film pèche par son intrigue. L'histoire est terriblement basique, loin des portraits sociétaux à la galerie de personnages imposante, comme a pu le faire par ailleurs le cinéaste. C'est simple, le film n'est pas tiré d'une histoire vraie et prend donc ses aises, notamment dans l'introduction d'un histoire d'amour au romantisme touchant." Holy paper shit "Ce film ne relate cette fois-ci nullement une histoire vraie, à la différence des films de la série Combat sans code d'Honneur dont le tournage débute l'année suivante et du Cimetière de la Morale, tourné deux ans plus tard." Ecran Large - Francis Moury |
Synopsis usuel:
Okita est né le 15 août 1945, jour de la capitulation du Japon face à l'armée américaine ; une date qui porte malheur. Adulte, il est devenu un gangster violent, qui se préoccupe peu du code de l'honneur des yakuzas. Il va jusqu'à attaquer le chef d'un gang ennemi alors que celui-ci prend son bain. Condamné à plusieurs années de prison, Okita découvre en sortant que la société a changé : les yakuzas ont abandonné leurs activités illégales pour devenir des hommes d'affaire. Lui continue à se comporter comme une brute et cherche à créer son propre clan. |
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