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vod
dvd blu-ray
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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Thirst, ceci est mon sang):
"Park Chan-Wook (Old Boy) revisite le mythe vampirique avec un bonheur inégal." Excessif "Loin d'être une révélation dans le genre codifié du film de vampires, Thirst, le nouveau monstre de Park Chan-Wook, ressemble surtout à un patchwork destroy de cinéphile amoureux du cinéma de l'extrême. Toujours dans la référence (beaucoup de Polanski et de Zulawski), jamais dans la proposition." Excessif |
Synopsis usuel:
Sang-hyun est un jeune prêtre coréen, aimé et respecté. Contre l'avis de sa hiérarchie, il se porte volontaire pour tester en Afrique un vaccin expérimental contre un nouveau virus mortel. Comme les autres cobayes, il succombe à la maladie mais une transfusion sanguine d'origine inconnue le ramène à la vie. De retour en Corée, il commence à subir d'étranges mutations physiques et psychologiques : le prêtre est devenu vampire. Mais la nouvelle de sa guérison miraculeuse attire des pélerins malades qui espèrent bénéficier de sa grâce. Parmi eux, Sang-hyun retrouve un ami d'enfance qui vit avec sa mère et son épouse, Tae-Ju. Il succombe alors à la violente attirance charnelle qu'il éprouve pour la jeune femme... |
Sortie ciné : 30 septembre 2009 Box office France: 56 050 entrées cinéma Festival de Cannes 2009 : Prix du Jury. - - - - - Extrait de la critique de Isabelle Regnier (journal le Monde) : "Park Chan-wook, réalisateur coréen de films de genre trash (Old Boy et Lady Vengeance) s'attaque à Thérèse Raquin - roman de Emile Zola. Ce seul fait mérite attention. Récompensé à Cannes par le Prix du Jury, 'Thirst' a aussi suscité, chez une bonne partie de la critique, des réactions du même ordre que celles provoquées lors de sa sortie par le roman de Zola : mauvais goût, boursouflure, grand n'importe quoi... En partie justifiées, elles ne rendaient pas justice toutefois à la vitalité de ce film qui semble avoir pour principal programme de surenchérir continuellement sur son propre délire, et dont les outrances à ce titre relèveraient presque de l'art de la performance." |
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