Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Do the Right Thing):
"Cette fresque raconte, en vingt-quatre heures de la vie d'un quartier de Brooklyn, comment les tensions intercommunautaires peuvent conduire à l'émeute." Les Inrocks
"Do the Right Thing a été accueilli à sa sortie par une polémique enflammée et par un succès éclatant, tant critique que public. Accusé par les uns d'inciter à la haine raciale, célébré par les autres comme un légitime cri de révolte, le film n'offre en réalité qu'un état des lieux de l'Amérique, aussi clairvoyant que rageur." Arte
"La capacité de Spike Lee à aborder les problèmes aussi variés et complexe que la pauvreté, la brutalité policière, l'embourgeoisement des quartiers populaires, l'amour entre Blancs et Noirs, la violence dans le combat des Noirs, le déclin des commerces possédés par des Noirs, le culte de la célébrité, la violence contre les femmes et le racisme, révélait une sophistication à laquelle très peu de réalisateurs pouvaient prétendre." Slater
"Avec ce film, Spike Lee devenait le chef de file du cinéma noir américain d'aujourd'hui : des rythmes rap du groupe Public Enemy au look de ses personnages, adeptes d'une mode « streetwear » colorée et authentique, Do the Right Thing reflétait une nouvelle culture urbaine et prenait la température de la rue new-yorkaise." Telerama
"Lee reste dans le registre léger du conte pendant presque tout le film. Par ailleurs, ce qui frappe dans cette retenue, c'est qu'en vingt ans, le monde et sa représentation sont devenus bien plus violents. Rien que la danse du générique de début fait un peu pâle figure à côté des performances hallucinantes d'agressivité des "krumpers" filmés par David LaChapelle en 2005 dans son documentaire Rize." Petits Carnets d'un Cinephile
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Synopsis usuel:
La situation des Noirs en Amérique étant toujours aussi précaire de nos jours, le combat contre le racisme doit donc continuer, chacun vivant quand même sa petite vie quotidienne, que ce soit Sal le marchand de pizzas, Mookie le livreur, Da Mayor le poivrot, Mother Sister la commère, Mister Senor Love Daddy le disc jockey...
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