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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd L'Anguille):
"Saisissant par son traitement amoral, L'Anguille a permis à Imamura de remporter pour la seconde fois la prestigieuse Palme d'or au Festival de Cannes. Il écorche à nouveau le statisme de la société nipponne." Avoir Alire "Partant d'une ouverture violente, L'Anguille est imprégné de fortes tensions. Après avoir révélé sa capacité à tuer dans une rage non contenue, Yamashita restera tout au long de sa vie, une figure volcanique qu'il tente de contenir, une personnalité au fil du rasoir et un homme solitaire." Kurosawa Cinema "L'Anguille est un film intimiste et bouffon à la fois, avec notamment le personnage du fana des ovnis, avec sa soucoupe clignotante (...). Cette ambiance provinciale et bon enfant ressemble aux petits films champêtres de John Ford. Imamura a retrouvé le secret de la douceur de vivre, de l'humour et de l'humanisme." Les Inrocks "L'élément le plus troublant du film réside dans l'existence étrange d'un troisième personnage, beaucoup moins travaillé sur un plan scénaristique, mais à la symbolique forte : Takazaki, un être malhonnête et radicalement mauvais, qui évoque la bestialité humaine et indique la limite à ne pas franchir dans la violence." Il etait une fois le cinema "L'Anguille aurait pu être un grand film fait de petits riens. Ces derniers, hélas ! se diluent dans le Rien. (...) Dans cette Anguille édulcorée d'onirisme de pacotille, il y a ennui sous roche. Un mal qui s'étire comme guimauve (1 h 57) et affadit l'acidulé fugace de la beauté. (...) L'Anguille tire vers le cucul la praline." L'Express |
Synopsis usuel:
Takuro, après huit ans passés en prison pour le meurtre de sa femme adultère, est mis en liberté conditionnelle. Il ouvre un salon de coiffure mais reste obstinément taciturne ne se livrant qu’à une anguille apprivoisée durant sa captivité. Keiko, une jeune femme qu’il sauve du suicide, devient son assistante et égaie bientôt le salon et la vie tranquille du solitaire Takuro. Mais le passé ressurgit pour chacun d’eux, avec ses démons... |
Sortie ciné : 1er octobre 1997 Box office France: 238 710 entrées cinéma Festival de Cannes 1997 : Palme d'Or. |
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