Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray J. Edgar):
"On voit l'autoritarisme ignoble de Hoover, ses pratiques d'investigation et de fichage illicites, ses chantages au scandale sexuel exercés sur les Kennedy ou sur Nixon. On entend aussi ses imprécations racistes, ses parjures devant les tribunaux." Telerama
"Plutôt que de nous offrir une fresque d'espionnage grandiose sur la construction du FBI et de ses secrets, Eastwood va s'intéresser à l'intimité de l'homme, discret, mais au pouvoir immense." My Screens
"Ce portrait est tellement dense que résumer un tel parcours et radiographier en arrière-plan les convulsions politico-sociales US auraient nécessité au moins une trilogie. Le scénariste survole certains thèmes essentiels et a dû faire des choix cornéliens qui peuvent frustrer en fonction des attentes." Excessif
"Eastwood s'attarde sur l'oedipe du chef du FBI. Complètement écrasé sous le joug d'une mère possessive et phagocytante, J. Edgar refoule son homosexualité (...). On assiste alors à tous les poncifs du genre, psychanalyse sexuelle de comptoir, scènes de disputes surjouées entre les amants platoniques, baisers de silicones entre les deux acteurs grimés en vieillards..." Le Passeur Critique
"J. Edgar est un film qui ne fait ni vraiment chaud ni vraiment froid. Il faut tout d'abord s'habituer au flot d'informations déversées dans la première partie du film. Si vous n'êtes pas familier avec l'Histoire des États-Unis, il vaudrait peut-être mieux réviser avant visionnage." Abus de Cine
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Synopsis usuel:
Le film explore la vie publique et privée de l’une des figures les plus puissantes, les plus controversées et les plus énigmatiques du 20e siècle, J. Edgar Hoover. Incarnation du maintien de la loi en Amérique pendant près de cinquante ans, J. Edgar Hoover était à la fois craint et admiré, honni et révéré. Mais, derrière les portes fermées, il cachait des secrets qui auraient pu ruiner son image, sa carrière et sa vie.
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