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Livre : L'AFFAIRE ADELE HAENEL
Ce livre conduit une enquête psychologique au scalpel sur l'une des affaires les plus médiatisées de ces dernières années. Témoins influencés, fausses informations médiatiques, meutes numériques, et un désigné coupable cloué au pilori : une tragédie moderne où la vérité devient le premier dommage collatéral. |
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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray La Voie du serpent):
"Signé du maître japonais Kiyoshi Kurosawa, qui tourne ici un remake de son propre « Chemin du serpent » (1998), ce récit très étrange, et violent par moments, perd ses personnages et les spectateurs dans les méandres d’une enquête plus que complexe. Mais le film vaut avant tout pour sa distribution qui oppose une comédienne japonaise à des acteurs français." Le Parisien - Renaud Baronian "Est-ce bel et bien la vérité qui guide les pas des protagonistes ? Quelle perversion caractérise les suspects, quelle perversion les lie entre eux, quelle perversion motive les actions des deux héros ? Cette noirceur morale semble contaminer les personnages un à un – et l’on sait que le thème de la contamination est l’un des motifs du cinéma de Kurosawa." Le Polyester - Nicolas Bardot "Le twist final du film peu à peu révélé au cours d’une chasse à l’homme sans merci, particulièrement terrifiant et cynique, invite à reconsidérer l’intégralité de l’histoire, l’origine de son horreur, le rôle des images en son intérieur." Première - Nicolas Moreno "Damien Bonnard excelle dans le rôle d’un père qui cède peu à peu à l’appel de la torture. Dommage que la résolution de l’intrigue déçoive autant (...). Frustrant mais passionnant." Paris Match - Yannick Vely "Le principal intérêt de ce remake était son contexte français. C’est finalement son plus gros défaut. (...) C’est au moment de percer son mystère que tout s’écroule. Les fondations avaient déjà été sérieusement ébranlées par la section centrale, intéressante dans l’idée, mais se heurtant aux limites d’un scénario bi-national. Peut-être le décalage est-il voulu, et il fonctionne particulièrement bien lors des séquences de consultation, les plus fascinantes du film. Reste que les dialogues trop écrits viennent mettre des bâtons dans les roues de la mise en scène, au réalisme étrangement cru. Plus globalement, les révélations de la deuxième partie s’exportent mal dans un contexte français, frôlant parfois le grotesque." Ecran large - Mathieu Jaborska "Le cinéaste déçoit avec ce polar maladroit aux intentions confuses, et dans lequel on ne retrouve son style incisif que dans de rares séquences. (...) Albert Bacheret et Sayoko Niijima ne provoquent nullement l’empathie du spectateur, vite excédé par la répétition de procédés grotesques (l’enfermement des ennemis dans des grands sacs) et de dialogues mal écrits, ainsi que la caractérisation sommaire de personnages sans consistance." Avoir Alire - Gérard Crespo "Le casting n’arrange rien, mais il faut dire que les acteurs ne sont guère aidés par le contexte, d’un Damien Bonnard inexpressif (lui que l’on a connu excellent) à une Kō Shibasaki insipide, en passant par un Hidetoshi Nishijima (Drive My Car) sous-utilisé ou un Mathieu Almaric se demandant ce qu’il est allé faire dans cette galère." Avoir Alire - Gérard Crespo |
Synopsis usuel:
Albert Bacheret est un père dévasté par la disparition inexplicable de sa fille de huit ans. Alors que la police semble incapable de résoudre l’affaire, il décide de mener sa propre enquête et reçoit l’aide inattendue de Sayoko, une énigmatique psychiatre japonaise. Ensemble, ils kidnappent des responsables du « Cercle », une société secrète. Mais chaque nouvel indice mène à un nouveau suspect qui présente toujours une version différente des faits… Obsédé par la vérité, Albert va devoir naviguer entre sa soif aveugle de vengeance et une infinie spirale de mensonges. |
Sortie ciné : 3 septembre 2025 Box office France: 14 217 entrées cinéma |
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