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Livre : L'AFFAIRE ADELE HAENEL
Ce livre conduit une enquête psychologique au scalpel sur l'une des affaires les plus médiatisées de ces dernières années. Témoins influencés, fausses informations médiatiques, meutes numériques, et un désigné coupable cloué au pilori : une tragédie moderne où la vérité devient le premier dommage collatéral. |
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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Dracula):
"Le Dracula de Luc Besson est différent des autres. (...) il a transformé Caleb Landry Jones en vampire romantique (...) un héros brisé qui recherche celle qu’il aime et a perdu. Caleb Landry Jones apporte une dimension tragique au personnage." 20 minutes - Caroline Vié "Dracula est un film spectaculaire, où le sang laisse la place à la passion amoureuse. Avec un Caleb Landry Jones impérial dans le rôle-titre." Ouest France - Philippe Lemoine "Besson confirme, après Dogman (dont le rôle principal, Caleb Landry Jones, tient avec brio celui de Dracula), qu’il en a encore sous le pied, capable d’allier épique et esthétique tout en prenant le temps de révéler, dans le double rôle de l’épouse du prince et réincarnation d’icelle, une comédienne qu’il va falloir suivre de très près : Zoe Bleu." Paris Match - Christophe Carrière "Impeccable, l'acteur Christoph Waltz, habité par son personnage d’ecclésiastique téméraire prêt à tout pour éliminer la créature, tire incontestablement le film vers le haut (...)." Rts - Philippe Congiusti "Le film bénéficie pleinement de l'abattage énergique de Christoph Waltz en ecclésiastique excentrique. (...) son cabotinage débridé et cette diction, qui évoque celle d'un Luchini en cours d'allemand, restent toujours aussi jouissifs." Les Echos - Adrien Gombeaud "Le réalisateur livre une adaptation très personnelle du roman de Bram Stoker. (...) Le Dracula de Luc Besson n’est pas un séducteur comme celui des autres versions. Ces disciples masculins ou féminins ne sont pas des objets sexuels. « Il ne se sert d’eux que pour accélérer sa mission, décrit le cinéaste. Il ne cherche pas à les séduire ». Pour attirer ses proies, le vampire a mis au point un parfum qui les réduit à l’obéissance mais il n’est mû ni par la cruauté, ni par la sensualité." 20 minutes - Caroline Vié "Contre toute attente, Luc Besson s’en sort avec les honneurs en ayant la bonne idée de surfer sur le « Dracula » de Francis Ford Coppola (1992) tout en faisant d’audacieux pas de côté." Paris Match - Christophe Carrière "Le film reprend fidèlement la trame du célèbre roman de Bram Stoker, mais pour l’infléchir en grand blockbuster romantique, sorte de Vertigo (Alfred Hitchcock, 1957) où un homme en deuil n’est obsédé que par une chose : l’image d’une femme morte. Mais c’est sans compter sur la manière Besson, qui peine à lester ses belles intentions d’une profondeur formelle et discursive. Parmi toutes les idées plastiques qui s’offraient à lui pour orchestrer son film, le cinéaste a opté pour l’option la plus pauvre : ralentis outranciers, timelapses, envolées lyriques d’un kitsch achevé, le tout soutenu par la partition assourdissante de Danny Elfman. La (potentielle) sublime histoire d’amour se rétracte en roman-photo gothique." Le Monde - Murielle Joudet "Cette adaptation du célèbre mythe est assez conventionnelle, souffrant d’un montage publicitaire et d’un manque d’inspiration." Avoir Alire "Besson ne prend pas de risques (en même temps pouvait-il se le permettre sans être accusé de tout un tas de choses ?) et signe un film qui se contente d’être une distraction linéaire. Planté ainsi, le tableau paraît dur mais il est à souligner que malgré sa petitesse générale et ses nombreuses maladresses, le film fonctionne à son modeste niveau. Dracula n’a rien ni d’un navet ni d’un nanar. Une fois acceptée sa dimension sans génie, il en est presque sympathique à suivre." Mondociné - Nicolas Rieux "Dracula est moins l’adaptation du roman de Bram Stoker qu’il ne recycle le film de Francis Ford Coppola, lequel avait déjà pris ses distances avec le texte pour faire de l’héroïne la réincarnation d’un amour sacrifié, et du comte une figure tragique, rongée de bout en bout par le chagrin. Aucune relecture du mythe donc, mais une sorte de remake édulcoré, vidé de sa fureur et de sa sensualité qu’il traque pourtant comme un forcené." Les Inrocks - Arnaud Hallet "Ce qui frappe le plus à la vision de Dracula, c’est d’y retrouver le côté obscur de Besson lorsque lui vient l’idée d’adapter des œuvres qui ne viennent pas directement de lui. Pour le coup, on ne parle pas de Valérian (adaptation parfaite et encore aujourd’hui sa plus belle réussite artistique), mais plutôt de l’outrage autrefois commis envers l’œuvre de Tardi avec Adèle Blanc-Sec. Soit un décorum ancien et des costumes d’époque chiadés au possible, ainsi qu’une musique en accord parfait avec le ton et le sujet (la collaboration inattendue avec Danny Elfman fait ici souvent merveille), mais à côté de quoi tout fait figure de déconfiture et de renoncement cinématographique total. Tout au long d’une narration aussi bavarde que ma boulangère, toute velléité de mise en scène se voit sans cesse anéantie au profit de dialogues omniprésents, se bornant à surexpliquer tout ce qui n’a pas besoin de l’être (action déjà visible à l’écran, codes du genre déjà assimilés par instinct et/ou par voie cinéphile, voire même l’explication de ce qu’est un « vampire » !), le tout avec des comédiens coincés et mal doublés dont l’expression « surjouer le minimum syndical » pourrait suffire à qualifier le travail d’actorat." Abus de Ciné - Guillaume Gas |
Synopsis usuel:
Au XVe siècle, le Prince Vladimir renie Dieu après la perte brutale et cruelle de son épouse. Il hérite alors d’une malédiction : la vie éternelle. Il devient Dracula. Condamné à errer à travers les siècles, il n’aura plus qu’un seul espoir : celui de retrouver son amour perdu. |
Sortie ciné : 30 juillet 2025 Box office France: 651 174 entrées cinéma |
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