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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray La Femme à abattre):
"Le film à voir ou à revoir. Il est signé d'un nom à peu près inconnu : Bretaigne Windust. Mais son véritable auteur est sans doute Raoul Walsh. Dans le genre, en tout cas, c'est une perfection. (...) Il y a un cadavre par séquence et à peu près tous les modes d'assassinats sont utilisés au cours du récit." Le Monde, 1965 - Jean de Baroncelli "La Femme à abattre marque un tournant dans l’histoire du cinéma car il marque le passage du film noir vers le crime organisé. Basée sur les révélations du truand Abe Reles, l’histoire se situe au moment où la police découvre la constitution d’une sorte de syndicat du crime. La Femme à abattre est d’ailleurs le premier film où sont employés les mots contract, hit, finger man, mots qui laissent les enquêteurs vraiment perplexes." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Bien entendu, la stupeur de cette découverte ne joue plus sur nous aujourd’hui mais le film reste assez prenant grâce à un excellent déroulé du scénario, très accessible malgré l’imbrication de flashbacks. La séquence qui clôt le film est assez remarquable (les haut-parleurs et le reflet dans la porte sont des idées superbes)." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Faut pas cligner des yeux si on veut pas rater une bribe d'info, mais l'ensemble est tellement bien foutu qu'on ne se perd jamais dans ce dédale de révélations : les cadavres s'empilent et les lieux inquiétants se suivent (...)." Shangols "La Femme à abattre nous entraîne dans une enquête aussi épuisante que captivante, où tout le monde peut être coupable, et où n’importe qui peut se retrouver, malgré lui, victime d’une machination criminelle." A la rencontre du septième Art "Une parfaite mécanique scénaristique au service d'un film noir rondement mené - avec, en prime, deux-trois rictus légendaires du sieur Bogart (l'affaire est corsée, faut dire) propres à satisfaire tout grand fan du bonhomme." Shangols "Égal à lui-même, concentré et nerveux, « Bogie » nage comme un poisson dans l’eau et crée un personnage qui n’existe que par son charisme tranquille et ses mimiques familières. Il est très bien entouré par Roy Roberts en flic costaud et par quelques « gueules » des années 50, comme on n’en fait plus : Zero Mostel en gros pleutre suant de peur, Jack Lambert en hitman fou à lier, Bob Steele en flingueur sans état d’âme et surtout Everett Sloane, qui apparaît tard dans le film, mais crève l’écran en génie du crime qui invente le « meurtre sans mobile »." Le Blog du West "La Femme à abattre est un film solide, sans chichi, très soigneusement filmé et monté, qui fait passer 85 minutes en un éclair." Le Blog du West "La Femme à abattre use de multiples flashbacks, parfois imbriqués les uns dans les autres. Aujourd’hui un tel procédé peut paraître anodin mais pour l’époque cette histoire à tiroir se démarque, pose même quelques bases pour ses successeurs. Malheureusement ce schéma sert parfois de facilité au film. Rien de scandaleux, la plupart des retournements ne sont pas trop idiots mais semblent par moment un peu facile. C’est parfois un dialogue un peu trop écrit, parfois une prise de conscience trop tardive ou encore un événement qui tombe trop à pic pour être vraisemblable: La Femme à abattre n’est pas irréprochable dans son approche du polar." Les Réfracteurs |
Synopsis usuel:
Le gangster qui avait accepté de témoigner contre le chef d’une redoutable organisation criminelle se tue accidentellement. Le procureur Martin Ferguson perd son témoin clé et doit repartir à zéro. Il a peu de temps pour éviter que le suspect ne ressorte libre du tribunal. |
Sortie ciné : 7 septembre 1951 Box office France: 1 691 638 entrées cinéma |
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