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Livre : L'AFFAIRE ADELE HAENEL
Cet essai très documenté démonte, point par point, une affaire MeToo devenue emblématique. Il revient en détail sur l’enquête de Mediapart, en décortique les erreurs méthodologiques, puis montre comment les médias l’ont relayée de manière encore bien plus trompeuse, installant des certitudes sans fondements. Un essai qui expose la faillite intellectuelle d’un journalisme qui a cessé de douter. |
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vod
dvd blu-ray
Le film est peut-être sorti en vod chez CANAL VOD mais le Guide Rapide n'a pas encore établi de lien vers la fiche de film chez CanalVOD. CANALVOD |
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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Screamboat):
"Screamboat : Mickey est un serial killer ! Transformer un « Disney » en film d'horreur ? Un certain cinéma d'exploitation s'y attaque, mais jamais pour des raisons artistiques… (...) Ce Screamboat, projeté il y a peu au cours de la mythique Nuit du Bifff, est inspiré par Steamboat Willie, le court-métrage animé de Walt Disney et Ub Iwerks sorti en 1928, historique et remarquable pour avoir mis en scène un personnage sifflotant qui allait devenir une icône de la pop culture – faut-il rappeler son petit nom ? " Le Soir - Didier Stiers "Screamboat, réalisé par Steven LaMorte, déjà connu pour son penchant pour les concepts aussi absurdes que sanglants, ce slasher maritime assume d'entrée de jeu sa vocation : faire rire, faire sursauter, et surtout faire couler l'hémoglobine." CCS - delromainzika "De temps à autre, un film qui ne devrait pas fonctionner selon les critères traditionnels parvient pourtant à réaliser l'impossible en misant tellement sur son absurdité que toute résistance devient vaine. Screamboat, le dernier né de l'univers toujours plus vaste de l'horreur dans le domaine public, est exactement ce genre de film : un film qui, selon toute logique, ne devrait être qu'une nouveauté, un mème éphémère sur pellicule, mais qui finit par offrir un voyage follement divertissant et sanglant dans les bas-fonds obscurs de la nostalgie de l'enfance. C'est désordonné, inégal et grossier mais c'est aussi joyeux, engagé et, surtout, conscient de lui-même, ce qui le distingue véritablement de ses pairs qui pillent la propriété intellectuelle." Mulderville "Une souris tueuse commence à les éliminer un par un, avec un humour grinçant et une violence bien dosée pour le public de minuit. Sur le papier, ça paraît absurde. À l'écran, ça l'est tout autant. Et c'est précisément ce qui donne à Screamboat sa (petite) singularité dans le flot de productions d'horreur fauchées. Le film n'a aucune intention de renouveler le genre, ni de faire illusion. Son identité est claire : du gore, du kitsch, et une bonne dose d'auto-dérision." CCS - delromainzika "L'un des défauts majeurs de Screamboat réside dans sa durée. Avec près de 100 minutes au compteur, le film s'étire inutilement dans son deuxième acte. Certains passages semblent là uniquement pour faire du remplissage, et l'intrigue peine à se renouveler une fois l'effet de surprise passé. (...) Cela dit, les scènes de carnage sont suffisamment espacées pour relancer l'intérêt quand la narration commence à piétiner. À défaut d'être constante, la dynamique du film repose sur une succession de pics de violence plus ou moins réussis." CCS - delromainzika "Le milieu du film traîne en longueur. Trop de personnages sont introduits pour mourir, ce qui est certes courant dans un slasher, mais le scénario peine à maintenir son élan une fois que le nombre de morts commence à stagner. Les effets visuels, en particulier la taille incohérente de Willie, peuvent être dérangeants, et certains décors numériques semblent avoir été rendus sur un Commodore 64. Toutes les blagues ne font pas mouche non plus ; certaines tombent à plat, surtout lorsqu'elles semblent trop méta ou auto-congratulatoires. Et avec ses 100 minutes, le film est probablement 15 minutes trop long." Mulderville |
Synopsis usuel:
Une promenade nocturne en bateau se transforme en un combat désespéré pour la survie à New York lorsqu’une souris espiègle devient une réalité monstrueuse. Un équipage hétéroclite peut-il survivre à une créature tueuse ? |
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