Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray God Save the Tuche):
"Avouons qu’après un quatrième épisode calamiteux, on se rendait à l’avant première des "Tuche 5" un peu inquiet (...). On sent que le scénario a été bien plus travaillé, l’histoire donnant cette fois-ci lieu à de nombreuses résonances avec des événements liés à la famille royale (la chanson hommage d’Elton John, qui revient à chaque fois qu’il arrive quelque chose à la Reine...), ou avec les traditions (l’apprentissage des bonnes manières à table, le croquet, les cordelettes pour appeler les valets...). Les gags s’enchaînent ainsi à un rythme effréné (...)."
Abus de Ciné - Olivier Bachelard
"C’est finalement une bonne surprise, si l’on parvient à mettre un peu de côté les tics ou les jeux de mots lourds de Wielfried (Pierre Lottin), les erreurs d’anglais de Stéphanie (amusantes seulement un temps) ou les sous-titres obsédés de Mamie Suze qui n’amusent cette fois que rarement, quand elle tente une fable de La Fontaine déformée ou avec « la pelle du 18 juin »."
Abus de Ciné - Olivier Bachelard
"Le film donne l'impression de ne plus savoir sur quel pied danser, insère ici et là un humour absurde façon Les Nuls (...) et fait étrangement perdre à Jeff l'humanité qui compensait sa bêtise. Est-ce qu'on n'aurait tout simplement pas fait le tour de la saga ?"
Première - François Léger
"Rien à sauver de God Save the Tuche, où l'enchaînement de vannes poussives couplé à des situations "drôlatiques" à peine plus inspirées et tout aussi éreintantes, ne tardent pas à montrer que la friteuse au-delà d'être en surrégime, a son huile périmée depuis longtemps."
Fucking Cinéphiles - Jonathan Chevrier
|
|
Synopsis usuel:
Les Tuche mènent à nouveau une vie paisible à Bouzolles. Mais lorsque le petit-fils de Jeff et Cathy est sélectionné pour un stage de football à Londres, c’est l’occasion rêvée pour toute la famille d’aller découvrir l’Angleterre et de rencontrer la famille royale. Entre chocs culturels et maladresses, les Tuche se retrouvent plongés au cœur de la royauté anglaise, qui n’est pas prête d’oublier leur séjour !
|