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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray La Vie rêvée des anges):
"Avec La Vie rêvée des Anges, Erick Zonca, dont c’est le premier long métrage, tombe dans la catégorie du film social, option « réalisme ». Un de plus ? Oui pour la catégorie, non pour la comparaison avec les autres, qu’il survole, loin de tout misérabilisme social. Avec un dépouillement apparent, Zonca crée des émotions, émeut ; les regards, les voix, les croisements de trajectoires s’entrechoquent et ça fait mal." Les Inrocks - 1997 "Le film remue de l’intérieur, fait réfléchir, toujours sur le fil du rasoir : Zonca n’a pas filmé la vie, il l’a traquée. Un film dont on ne sort pas indemne." Les Inrocks - 1997 "La Vie rêvée des Anges est l'antithèse du film pédagogique ou « à message » (...). Il donne en effet plus à observer de façon attentive et empathique qu'à proprement parler à comprendre et à interpréter. Nous suivons le parcours d'Isa et de Marie par la sensibilité, l'attention (parfois la tension), mais la complexité de leurs motivations, de leurs réactions et de leurs actes ne nous est jamais totalement dévoilée, décryptée. La Vie rêvée des Anges est ainsi un excellent film pour aborder les dimensions psychologiques et de santé mentale des personnes, car il écarte toutes tentatives d'explications totalisantes ou irréfutables." Les Grignoux "Cinéma du vécu ? La Vie rêvée des Anges convainc plus sur la forme que le fond. Du social sans cheville ouvrière." Libération - Gérard Lefort "Si le milieu ouvrier est bien présent, La Vie rêvée des Anges n’est pas pour autant un film militant, critique, ni même politique. Pas non plus anti-capitaliste (Zonca signera d’ailleurs deux ans plus tard deux spots publicitaires pour MacDo)." Il était une fois le cinéma |
Synopsis usuel:
Isa a vingt ans, son sac à dos pour tout bagage et une « philosophie de la galère » plutôt souriante. Elle arrive à Lille, après d’autres villes de passage, à la recherche de petits boulots. Jamais les mêmes et jamais très longtemps. Partout où elle va, elle ajoute une petite pièce à l’édifice qu’elle construit patiemment avec sa curiosité, sa générosité, instinctivement. Son chemin croise celui de Marie, 20 ans elle aussi. Fille du nord, solitaire, comme Isa, mais pour d’autres raisons. Marie est sauvage, écorchée, révoltée contre sa condition sociale. |
Sortie ciné : 16 septembre 1998 Box office France: 1 456 456 entrées cinéma Festival de Cannes 1998 : Prix d'interprétation féminine. César 1999 : 3 récompenses. César du Meilleur film français de l'année, César de la Meilleure actrice (a), César du Meilleur jeune espoir féminin (Natacha Régnier). |
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