Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Dracula, mort et heureux de l'être):
"Le lecteur assidu de Bram Stoker, ou le cinéphile amateur de l'œuvre de Francis Ford Coppola, pourra sans effort faire le rapprochement entre cette délirante plaisanterie et la ‘'véritable'' histoire, et mesurer par conséquent l'ampleur du délire imaginatif de Mel Brooks. En effet, le réalisateur enchaîne gags sur gags, jeux de mots sur jeux de mots, sans oublier d'y glisser son goût pour la friponnerie légère. Un véritable feu d'artifice souvent très drôle, voir hilarant, mais qui possède tout de même son lot de pétards mouillés."
Scifi-Universe - Nicolas L.
"L'atout comique du film repose en fait sur une caricature attendrie des personnages, qui sont traités avec un extraordinaire sens de l'absurde. (...) L'irrévérencieux est de mise, et même omniprésent, comme par exemple lorsque chaudement entrepris par une Lucy vampirisée, Jonathan Harker essaye de garder son flegme en répondant : « je suis Britannique ! » Un argument détruit immédiatement par Lucy qui met, de ses pleines mains, sa poitrine en évidence en répondant : « Eux aussi ! »"
Scifi-Universe - Nicolas L.
"Dracula, mort et heureux de l'être, n'est pas le meilleur film de Mel Brooks, loin de là. Il pêche en fait par excès, avec une accumulation très serrée de gags parfois moyens auxquels il n'accorde aucune possibilité de mûrissement. Heureusement, certaines situations se suffisent à elles-mêmes pour nous faire rire, notamment grâce aux prestations délirantes de comédiens qui jouent le jeu à fond. Même si l'on ne rie en fait que par intermittence, le sourire reste en permanence sur nos lèvres. Ce qui n'est déjà pas si mal."
Scifi-Universe - Nicolas L.
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Synopsis usuel:
Le comte Dracula acquiert à Londres l’abbaye de Carfax par l’intermédiaire du notaire Renfield, retrouvé dans un état de démence sur un bateau fantôme en provenance des Carpates. Une fois installé à Londres, le comte Dracula fait la connaissance de la famille Stewart, dont le père médecin dirige un asile d’aliénés à coups de lavements…
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