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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Take Me Somewhere Nice):
"Take Me Somewhere Nice est un premier film comme on en fait peu, férocement pop et décalé. Filmant le passage à l’âge adulte d’une façon originale, Ena Sendijarević nous montre une héroïne qui va prendre en main sa vie, sa sexualité et son identité." Fucking Cinéphiles - Laura Enjolvy "Le réalisme magique… Voilà le ton paradoxal dans lequel évolue ce premier long métrage (...). Ce road- movie en forme de récit initiatique sera pour cette jeune femme (...) une quête de son identité profondément – ou plus précisément de ses identités multiples. (...) l’héroïne, en pleine construction, est aussi butée qu’attachante." Première - Thierry Chèze "Entre soleil écrasant de western et errances nocturnes lunaires, Take Me Somewhere Nice change peu à peu de peau et de ton, se transforme en road movie contrarié. Le rythme se fait plus placide, peut-être un peu trop, mais le voyage d’Alma également se fait plus désabusé, prend de la noirceur et de la profondeur, comme si le film devenait adulte en même temps qu’elle." Le Polyester - Gregory Coutaut "Pour éviter l'écueil de misérabilisme dans un contexte géographique particulier, Ena Sendijarević décide, avec l’aide de son chef opérateur Emo Wheemhoff, de créer un visuel très stylisé, aux teintes pastels. Le format académique (1.37) enferme les personnages dans ce monde, qui à travers son prisme pop, rend compte de l’absurdité de la condition en Bosnie. La misère est presque effacée, au profit d’une négation de ce qui se passe, qui hante le film à petit touche." Fucking Cinéphiles - Laura Enjolvy "Le sexe est sans doute ce qui est le plus réussi dans le film. Pas les premières scènes qui doivent leurs seules justifications au fait que deux jeunes gens de sexes différents ne peuvent apparemment pas se rencontrer sans automatiquement s’envoyer en l’air. Mais deux autres scènes, par leur complexité morale qui semble fissurer le maque d’ennui du visage d’Alma, sont vraiment réussies. (...) Difficile de recommander ce film pour quoi que ce soit d’autre que ces deux moments, les deux seules véritables propositions de cinéma ici." Abus de Ciné - Thomas Chapelle "Un objet singulier de cinéma, mais qui manque assurément d’envergure." Avoir Alire "La réalisatrice compose de beaux tableaux rétro, mais oublie de raconter une histoire." Télérama "Take Me Somewhere Nice se perd dans une cérébralité qui l’empêche de lâcher les chevaux et de s’abandonner à cette folie douce qu’il ambitionne." Première - Thierry Chèze |
Synopsis usuel:
Alma voyage depuis les Pays-Bas jusqu’en Bosnie, son pays d’origine, pour rendre visite au père qu’elle n’a jamais connu. Elle y retrouve Emir, son cousin, pas très motivé à l’idée de l’aider, et Denis, son meilleur ami, bien décidé à tirer profit de la situation. Le trio va s’embarquer dans un road trip imprévisible au coeur du pays. |
Sortie ciné : 14 juillet 2021 Box office France: 37 entrées cinéma |
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