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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Julie (en 12 chapitres)):
"Julie (en 12 chapitres) est une romance débordant d'authenticité et incarnée avec brio. (...) Fresque lyrique et poétique, le métrage est empli d'audaces visuelles, de dialogues aiguisés et de ressorts scénaristiques parfaitement maîtrisés. (...) le cinéaste norvégien s'impose comme l'un des plus fins observateurs d'une jeunesse désillusionnée, d'une génération de trentenaires en pleine crise existentielle, capturant aussi bien les émois intimes que les frémissements sociétaux." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Portrait sublime dans sa simplicité et pertinent dans sa modernité, à la fois bouleversant et réconfortant dans son regard sur le monde, les relations, l'amour, l'existence... Julie (en 12 chapitres) détient un souffle et une beauté rares. Un grand film vivant et déchirant." Ecran large - Alexandre Janowiak "Porté avec incandescence par Renate Reinsve, le film embrasse son époque et son public, pour souligner ses doutes, ses vertiges et ses aspirations avec un élan vital communicatif." Ecran large - Simon Riaux "Les séquences de séduction renouvellent le genre de la comédie romantique en jouant avec le flirt et ses limites. Reinsve éblouit dans ce roman d'émancipation cruel et gracieux sur une jeune femme en quête d'elle-même que Trier leste d'un drame et d'un sentiment de perte abrupts." L'Obs - Sophie Grassin "La comédienne Renate Reinsve irradie l'écran de sa fraîcheur." Avoir Alire "Julie (en 12 chapitres) est d'abord une romcom générationnelle. Après la présentation de son héroïne, Trier bricole en effet un collage d'éclats intimes pour signer une grande fresque contemporaine et la radiographie sensible des tremblements collectifs." Première - Gael Golhen "Julie parle des relations amoureuses à l'ère #Metoo, de la responsabilité de l'art face la société, de la fidélité à soi-même ou de l'engagement (écologique ou citoyen). Ca pourrait être caricatural, lénifiant ou arrogant, répétitif. C'est au contraire drôle, lumineux et touchant." Première - Gael Golhen "Julie (en 12 chapitres) aurait sans doute gagné à économiser ses effets et à élaguer son propos. Sur le thème du féminisme, par exemple, le film vise bien plus juste lorsqu'il montre les petites violences quotidiennes auxquelles une femme est exposée quand elle n'affiche pas clairement son désir de maternité, que lorsqu'il organise un débat démonstratif entre le personnage d'Aksel (Anders Danielsen Lie), auteur de bandes dessinées satiriques, et une journaliste très remontée contre la noirceur de son humour." Critikat - Hugo Mattias "Si l'on peut reprocher aux films quelques ficelles d'écritures un peu convenues, et quelques instants matraquant plus maladroitement certaines de ses thématiques, il résulte néanmoins de ce Julie (en 12 chapitres) une exploration humble et moderne des sentiments d'une jeune femme en quête de son soi. Un voyage duquel on ressort euphorique et exalté." Le Bleu du Miroir - Pierre Nicolas "La mise en scène est très sage et illustrative (...). Le film peine à dépasser les bornes de son programme étriqué. Malgré son éclatement apparent (les douze chapitres du titre), le récit laisse finalement le sentiment d'une ligne droite et maintient toujours son héroïne sur le chemin balisé d'une liberté qu'il s'agira de conquérir dans la douleur." Critikat - Hugo Mattias "(...) Julie (en 12 chapitres) possède l'une des fins les plus bourgeoises et pataquès. Que s'est-il passé pour que le film perde ainsi la grâce qui rendait si bouleversant Oslo 31 août, film qui avait révélé Trier à Cannes il y dix ans ? On retrouve ici des idées de mise en scène similaires à Oslo…, trop similaires sans doute, et celles-ci n'apportent cette fois pas grand chose d'autre que la redondance des gimmicks. L'écriture s'est également appauvrie (...)." Le Polyester - Gregory Coutau |
Synopsis usuel:
Julie, bientôt 30 ans, n’arrive pas à se fixer dans la vie. Alors qu’elle pense avoir trouvé une certaine stabilité auprès d’Aksel, 45 ans, auteur à succès, elle rencontre le jeune et séduisant Eivind. |
Sortie ciné : 13 octobre 2021 Box office France: 220 372 entrées cinéma Festival de Cannes 2021 : Prix d'interprétation féminine (Renate Reinsve). |
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