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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray La Main qui tue):
"Tous les codes du film d'Halloween sont respectés. Il y a du sang, beaucoup de sang, une héroïne physiquement marquante (...) et un scénario absolument improbable, celui de trois ados occupant leurs journées à fumer de l'herbe en matant des clips avec des femmes aux poitrines volumineuses devant unir leur force pour combattre Satan." On rembobine "Pour la bonne dose d'humour noire jamais superflue, ses scènes gores habilement envoyées, le charme des acteurs, la bande originale explosive et son regard envers la façon de consommer des adolescents à la fin des années 1990, La Main qui tue s'impose comme un outsider de très bonne facture au beau milieu des conglomérats fructifiant souvent indigestes qui ont envahi nos vidéos clubs après le raz de marée Scream." De la Cave au Grenier "Outre un humour noir bien piquant, on retrouve également tous les clichés du teenage movie de l'époque, du style vestimentaire décontracté, mort au slim, à une bande son incroyable à base de Zebrahead, Mötley Crüe ou encore Rob Zombie. Noyée dans une multitude de nanards post Scream, La Main qui tue sortira son épingle de la carotide grâce un bal de promo final absolument mythique. Attention chérie ça va trancher ! " On rembobine "La Main qui tue ne doit pas être abordé comme un film d'horreur, mais plutôt comme une comédie, c'était d'ailleurs l'intention du réalisateur, qui dans le making-of, nous explique que lorsqu'il a commencé le tournage, il s'est aperçu que la comédie fonctionnait bien mieux que le côté horreur. Bonne idée, Mr Flender, car cela évite au film de tomber dans la catégorie des séries B au scénario bidon et aux effets spéciaux qui prêtent plus à sourire qu'autre chose." Devil Dead "Le scénario multiplie les incohérences (...) et les personnages inutiles (...) avec un bel aplomb qui forcerait presque le respect. A sa sortie, La Main qui tue fut un bel échec, renvoyant du même coup Rodman Flender à ses épisodes de séries télés. Et on ne peut guère crier à l'injustice tant le film échoue sur tous les tableaux, humour comme horreur. Allez ! Il y a bien une scène qui réussit à faire sourire (...). C'est peu, trop peu pour un film qui se voulait déjanté, et qui au final ne parvient qu'à être épuisant." Tortillapolis "C'est une bouffonnerie pour ados boutonneux et attardés." Sens critique - Amchi "Le film se serait bien passé de passages totalement absurdes et inutiles. Les atouts du film restent ces comédiens. Tous jeunes pour la plupart. Le film mise bien entendu sur la plastique généreuse de Jessica Alba pour attirer le plus de monde possible (enfin, je crois que (presque) tous les réalisateurs et producteurs qui employent cette comédienne, c'est uniquement pour ses formes que pour son talent). Car, avec Alba, il faut pas non plus s'attendre à un rôle super important ou intelligent où elle devrait faire preuve de virtuosité et de talent pour s'en sortir ! " Sens critique - batman1985 "A force de ne jamais se prendre au sérieux, le film finit rapidement par en devenir lassant et tourner en rond, les personnages trop stéréotypés et l'humour enfantin (pour ne pas dire consternant) auront eu raison de notre patience (mise à rude épreuve). En fin de compte, s'il y avait qu'une seule chose à sauver (et à retenir) de cette bouse infâme, se serait les quelques apparitions de Jessica Alba, tout juste âgée de 18 ans (qu'elle apparaisse en soutif et p'tite culotte ou même habillée), voilà la véritable motivation qui aura réussi à nous faire tenir jusqu'au générique de fin." Sens critique - Renger |
Synopsis usuel:
Un matin d’Halloween, alors qu’il s’apprêtait à regarder la télévision après avoir pris soin de dévaliser le frigo, Anton découvre ses parents sauvagement assassinés. Il court chercher ses amis Mick et Pnub. Ensemble, ils vont tenter de faire face à la situation. Mais ils découvrent, terrifiés, qu’Anton pourrait bien être, contre sa volonté et sans même en avoir conscience, l’auteur de la vague de meurtres atroces qui frappe les environs. En effet, sa main droite a des comportements pour le moins étranges et n’obéit plus à son propriétaire. |
Sortie ciné : 28 juillet 1999 Box office France: 44 940 entrées cinéma |
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