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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Cry Freedom - Le cri de la liberté):
"Cry Freedom est un film fort qui dénonce les horreurs de l'Apartheid. Démonstratif, parfois maladroit, mais efficace." Cinéma de Rien "Après Gandhi, Richard Attenborough réalise une nouvelle fresque spectaculaire et poignante contre l'intolérance. Il reconstitue avec minutie le climat de tension provoqué par le régime de l'apartheid en Afrique du Sud, sans trémolos, avec une réelle force de conviction, en se focalisant sur le combat du journaliste Donald Woods au détriment de celui de l'activiste Steve Biko...." Sens Critique - Ugly "Denzel Washington, dont le talent n'est plus à démontrer, joue superbement Steve Biko, leader de la lutte contre l'apartheid en Afrique du Sud, tué par ce système afrikaner (colonialiste) et le régime de Prétoria." Sens Critique - Co Mafalda "La fin du film est plus violente, elle montre en partie le massacre de Soweto, le 16 juin 1976 où il y a eu plus de 4000 blessés et plus de 700 enfants scolarisés, tués par balles de la police afrikaner. Depuis le mois de Mai, les jeunes des écoles militaient dans la rue pour réclamer d'autres langues que l'afrikans, langue des colons. Malgré une marche pacifiste ( même si on ne s'en étonne plus quand on a l'expérience des manifestations ) et à cette époque, la police tirait dans la foule, au risque de tuer, c'était leur méthode de dispersion." Sens Critique - Co Mafalda "Le film aurait pu bénéficier d'un recentrage sur la personnalité de Biko et d'un meilleur montage, plus équilibré. Mais si Attenborough a décidé de raconter cette histoire à travers les yeux d'un journaliste blanc c'est parce qu'il voulait que les spectateurs visés par le film (les occidentaux) se sentent directement concernés. David Woods pourrait être vous ! semble dire le réalisateur. Et s'il s'est battu contre l'Apartheid, au péril de sa vie et de celle de sa famille, vous devez l'entendre et relayer son combat ! Cry Freedom, malgré ses choix qui peuvent portés à discussion, reste un très beau film qu'il est encore aujourd'hui nécessaire de voir pour se rappeler que l'Apartheid, s'il n'existe plus sous sa forme politique, est sûrement l'une des pires monstruosités politiques du XXe siècle." Cinéma de Rien "Outre la structure en deux parties préjudiciable, le récit s'égare régulièrement dans des effets narratifs poussifs ou maladroits. Richard Attenborough ne se soucie en effet guère de la finesse dans l'expression cinématographique, lorsqu'il accumule des symboles un peu trop parlants (...). Dans cette course haletante à la manipulation sentimentale, qui était d'ailleurs infiniment plus sincère dans la première moitié malgré ses discours solennels, la bande originale de George Fenton est son meilleur allié contre la baisse de rythme et d'intérêt. Toutefois, Cry Freedom dispose de qualités au milieu de tous ces désagréments. La plus importante est sans l'ombre d'un doute l'interprétation de Denzel Washington dans son premier rôle important, avant de devenir la vedette planétaire d'une certaine arrogance que l'on connaît aujourd'hui. Son Steve Biko est le coeur et l'âme d'un film qui retombe immédiatement dans la médiocrité dès qu'il quitte l'écran." Mulderville |
Synopsis usuel:
1975, Afrique du Sud. Rédacteur en chef de l’un des journaux d’opposition les plus lus du pays, Donald Woods rencontre Steve Biko, un activiste qu’il soupçonne de prôner la haine des Noirs contre les Blancs. Immédiatement, entre les deux hommes, s’établit un rapport de confiance et de respect qui se transforme en profonde amitié. Après l’assassinat de Steve Biko par la police, Donald Woods reprend son combat, prêt à endurer toutes les épreuves pour que la vérité sur les crimes de l’Apartheid soit révélée au monde entier… |
Sortie ciné : 23 mars 1988 Box office France: 1 061 441 entrées cinéma |
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