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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd On l'appelle Trinita):
"L'histoire est convenue comme dans les autres films du duo également : Terrence Hill arnaque Bud Spencer qui est toujours un personnage d'une intelligence limitée par rapport à son frère plus malin. Au final, même si on sait ce qu'il va se passer, on a tout de même un bon divertissement. Certes ça ne vole pas très haut, mais le duo vous décrochera tout de même quelques rires." Le Monde des Avengers "Dans l'ensemble, la personnalité de Trinita à elle seule est bien plus drôle que les gags du film, relativement sages." Tortillapolis "Le duo Terence Hill et Bud Spencer, sorte de Laurel et Hardy à l'italienne avec une écriture comique moins aboutie, moins fine, et plus brutale, fonctionne malgré tout. Ces deux frangins sont fainéants et font toujours les choses à contre-cœur avec de gros soupirs d'exaspérations. Cette vision ci du duo est assez plaisante. Bud Spencer utilise son poing comme une massue, Terence Hill a l'oeil qui pétille. Les voir évoluer dans un de leur meilleur film commun mérite qu'on s'y arrête." Rue du Ciné "Les années 1970 étaient tout sauf une période faste pour le genre du western. Pendant cette époque moribonde, les vautours opportunistes ne se sont pas faits attendre. Et c'est donc du côté du persiflage qu'il fallait chercher les rares succès commerciaux, souvent d'origine européenne, avant la disparition pure et nette de cette machine à mythes de la conquête de l'ouest. Aussi improbable que cela puisse paraître aujourd'hui, un film inégal comme On l'appelle Trinita figurait parmi les premiers à exploiter le filon de la comédie burlesque sur fond de décors poisseux et de personnages à contre-courant de la légende édifiante sur laquelle s'était fondée la nation américaine." Mulderville - Tootpadu "On l'appelle Trinita est une comédie Western, avec un peu plus de tapage sur la tête que des tirs, mais cela reste quand même un Western, avec beaucoup de vulgarité et surtout des commentaires autour de viols. (...) Le rythme du film est plutôt lent." Films pour enfants "En 1971, le premier Trinita reçut un accueil plus qu'enthousiaste en France avec plus de 2.6 millions d'entrées, ce qui lui valut la naissance d'un petit frère légitime, On continue à l'appeler Trinita qui alla jusqu'à dépasser les 3 millions d'entrées. Terence Hill et Bud Spencer (...) connaissent immédiatement une notoriété européenne sans précédent dans leur carrière et deviennent un duo plus qu'incontournable pour le box-office français pendant plus de 14 ans (...) jusqu'en 1986 et Les superflics de Miami qui échoua à moins du million d'entrées (722.000 entrées). La fin d'une époque." Avoir Alire "Terence Hill joue un rôle stéréotypé agaçant. Il ne craindra pas, ensuite, d'exploiter le filon parodique jusqu'à l'épuisement." Telerama "Si tout le récit avait fait preuve de la même tension que l'affrontement après le générique de début, on aurait pu considérer le film de Enzo Barboni comme un digne représentant du western transalpin. (...) L'antagonisme fraternel entre Trinita, vaniteux comme un paon et pourtant habillé comme un clochard, et Bambino, bougon par excellence, ne suffit pas pour meubler les longueurs croissantes d'une intrigue, qui n'a plus rien de consistant à dire après l'exposition." Mulderville - Tootpadu |
Synopsis usuel:
Trinita, un aventurier d'une rare habileté aux armes, retrouve Bambino, son frère qui ne lui ressemble ni dans le physique ni dans le caractère. Le premier est longiligne et séducteur, le second, massif et râleur. Trinita est convaincu que Bambino est shérif, mais celui-ci, voleur de chevaux, a simplement usurpé le poste d'un représentant de l'ordre et poursuit ses activités malhonnêtes. Il convoite notamment les chevaux du major Harriman, un personnage cruel qui persécute une paisible communauté de Mormons. Scandalisés par ses agissements, ses deux hommes décident bientôt de prendre la défense des Mormons. |
Sortie ciné : 21 juillet 1971 Box office France: 2 624 948 entrées cinéma |
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