|
Les publicités sont peu nombreuses sur ce site, mais nécessaires à son financement.
Si vous aimez Guide rapide, pensez à faire une exception sur votre bloqueur de pub !
Si vous aimez Guide rapide, pensez à faire une exception sur votre bloqueur de pub !
|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
|
Trouver le film en VOD
grâce au SERVICE PROPOSÉ PAR LE  |
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Un Américain à Paris):
"Entouré de son aura mythique et de sa distribution de prestige (Gershwin à la musique, Gene Kelly à la chorégraphie, les premiers pas de Leslie Caron), Un Américain à Paris n'a rien perdu de son enchantement. La mise en scène de Minnelli permet de nombreuses lectures entre beauté picturale et mélancolie, tout en délivrant ce bonheur simple que l'on ressent devant les grandes comédies musicales de l'Âge d'or hollywoodien." Critikat "Un Américain à Paris est un des fleurons de l'âge d'or de la comédie musicale. Merveilleux et mémorable." Avoir Alire "Un Américain à Paris n'est pas la meilleure comédie musicale de Vincente Minnelli (Tous en scène, par exemple, lui est supérieur) mais c'est de loin son film le plus fameux. Et l'un des plus célèbres de l'histoire du cinéma." Olivier Père "La vision de la capitale française est assez croquignolette : dans ses ruelles de carton-pâte, c'est fou ce qu'il passe comme bonnes soeurs à cornette, triporteurs remplis de baguettes et mouflets le béret sur la tête ! Le film aurait peut-être gagné en authenticité si Vincente Minnelli avait obtenu, comme il le souhaitait, la participation d'Yves Montand (encore indésirable à Hollywood à cause de ses amitiés communistes) ou de Maurice Chevalier (un peu vieux, quand même). Mais peu importe. Minnelli a volontairement bâti un splendide Paris imaginaire (...)." Telerama - Marine Landrot "Couvert d'oscars et de récompenses de toutes sortes, généralement porté aux nues, considéré souvent comme le plus grand "musical" de l'histoire du cinéma, Un Américain à Paris est le film qui a le plus contribué à la célébrité de Vincente Minnelli. Quand on parle de lui aux profanes, on peut se contenter de dire : c'est l'auteur de Un Américain à Paris. (...) le film se termine, en apothéose, par son célébrissime ballet final. Un livre entier (...), a été consacré au tournage. Tous les collaborateurs du film en parlent avec des sanglots dans la voix. Et pourtant, nous restons sur une étrange impression de réserve, car il s'agit d'un des films les plus inégaux de son auteur. Si le ballet final, maintes fois célébré, n'a rien perdu de son éclat, il faut pourtant déchanter sur le reste : et si, finalement, Un Américain à Paris était un des films les moins personnels de Minnelli ? Si sa réputation était, en partie du moins, usurpée ? En partie seulement : il reste un prodigieux ballet, un des plus importants (17 minutes ! ), des plus beaux et des plus inspirés de Minnelli, donc de l'histoire du "musical"." Mon Cinéma à Moi "Comme tous les films de Minnelli, Un Américain à Paris est une réflexion sur le rêve, l'art et la réalité et une déclaration d'amour à la peinture (les numéros dansés reproduisent l'univers de grands peintres français.)" Olivier Père "Un Américain à Paris marque l'apogée du deuxième âge d'or de la comédie musicale hollywoodienne. (...) il ne s'agit plus seulement de spectacle, (...) mais très explicitement d'art. De ce point de vue, il est difficile de faire plus ambitieux que ce film, qui se mesure (...) aux arts consacrés, la musique savante et l'avant-garde picturale certes datée et accessible (Lautrec, Dufy, Seurat). (...) cette célébration de l'art, un rien mégalomane (...), a son revers : à la différence d'un Chantons sous la Pluie, l'intrigue proprement dite, forcément sentimentale, reste ici schématique et bâclée, grevée par l'agaçante Leslie Caron (...)." Les Inrocks - Serge Chauvin "Le scénario pourrait tenir sur un ticket de métro (parisien)." Les corps émouvants.overblog.com |
Synopsis usuel:
Henri Baurel, vedette de music-hall, Adam Cook, pianiste, et Jerry Mulligan, peintre américain fauché, se rencontrent à la terrasse d’un café dans le Paris des années Cinquante. Exposant dans la rue, Jerry fait la connaissance de Milo, une riche héritière qui le prend sous sa coupe… |
Sortie ciné : 1er juillet 1952 Box office France: 3 027 240 entrées cinéma Academy Awards 1952 : Oscar du Meilleur film, Oscar du meilleur scénario, Oscar de la meilleure photo couleur, Oscar des meilleurs décors couleur, Oscar des meilleurs costumes couleur, Oscar de la meilleure musique |
|
|
