Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Cartouche):
"Ce film est tout simplement un des meilleurs film de cape et d'épées jamais réalisé en France, avec ce sommet de la collaboration Belmondo/De Broca, et cette vision romancée du brigand Cartouche."
Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste
"Au croisement des (grands) chemins de Fanfan la Tulipe, Robin des Bois, et d'une certaine insolence Nouvelle Vague, Belmondo est magnifique, bondissant du léger au grave. Derrière le burlesque des capes et des épées, l'éclat des bleus et des rouges annonce le temps révolutionnaire. Le drame romantique prend le pas sur la fantaisie."
Telerama - Philippe Piazzo
"C'est véritablement dans sa seconde partie que le film décolle complètement. Cartouche tout puissant y est gagné par l'orgueil (...). Le ton change progressivement pour se faire plus mélancolique et sombre, laissant enfin éclater le flamboyant score romanesque de Georges Delerue. La tonalité romantique fonctionne vraiment bien lors des entrevues avec la comtesse (magnififque Odile Versois) mais c'est Claudia Cardinale et le destin de son personnage qui emporte totalement lors d'une conclusion étonnement mélancolique après l'ouverture insouciante et pétaradante."
Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste
"De Broca narre l'histoire d'une sorte de Robin des Bois ce qu'il n'était nullement : le véritable Cartouche était un chef de bande de la Cours des Miracles, charismatique et pouvant être impitoyable, tuer n'était donc pas un souci... Dans le film la romance romanesque est omniprésente. Nous ne sommes pas dans un film historique, il aurait donc été judicieux de créer un personnage de toute pièce plutôt que de reprendre le nom Cartouche. Néanmoins ce film d'aventure n'a rien à envier aux Le Capitan (1960) et Le Bossu (1958) avec Jean Marais."
Selenie
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Synopsis usuel:
A Paris, sous la Régence, les aventures mouvementées de Cartouche, voleur au grand coeur, charmeur et bagarreur. Après avoir mis sans dessus dessous l’armée, il revient à Paris semer la terreur chez les riches aristocrates en les détroussant…
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